La présentation officielle de cette feria s’est déroulée en deux temps, un peu comme une rencontre de rugby au stade de la Méditerranée pour la mythique ASB…
D’abord, avec une présentation vidéo des cartels dans le Théâtre Municipal où ensuite le maire, Robert Ménard, entouré notamment de Robert Margé, Sébastien Castella et Léa Vicens, a évoqué cette Feria du 120e anniversaire en assurant que l’animation et la sécurité seraient à la hauteur de l’événement, ajoutant combien il est important de défendre activement la tauromachie, sous peine de finir comme l’orchestre du Titanic…
Etaient aussi sur scène Benoit Dabbadie, Adjoint président de la Commission Taurine, Henri Fabre-Luce, et Elisabeth Pissaro, Adjointe à la Culture. Au terme des prises de parole, il ne restait plus aux intervenants qu’à dévoiler l’affiche de cette feria, au concept très vintage…
Miura, Victorino, Manzanares, Ponce, Castella, Léa, Talavante, Roca Rey, Bautista, Escribano… Les discussions pouvaient alors aller bon train dans le grand hall lors du vin d’honneur. A propos de vin, n’oublions pas qu’à Béziers, la chose viticole est importante, les interventions se terminant d’ailleurs par la présentation des deux lauréats du concours de la Feria, dans la catégorie rouge et rosé…
Robert Margé avec Léa et Phillipe Pagès, son associé pour la finca espagnole Ave María
La deuxième mi-temps s’est déroulée dans la foulée à la ganadería des Monteilles. Là, sous un soleil éclatant et une brise marine, Jérémy Banti et le jeune élève du San Gilen Lucas Miñana ont tienté deux vaches de la maison, avant que la réception ne se termine en plein air par un succulent buffet préparé par la famille de l’éleveur qui a eu droit à une ovation de gala, sans oublier les producteurs de vins et l’UCTPR, représentée par son délégué Arnaud Frade…
Jérémy Banti
Lucas Miñana
Arnaud Frade avec Jérémy et Sébastien
CARTELS
Samedi 12 août : deux Fermín Bohórquez – rejón – et quatre Núñez del Cuvillo pour Léa Vicens, Sébastien Castella et Manzanares.
Dimanche 13 : Six García Jiménez pour Enrique Ponce, Alejandro Talavante et Andrés Roca Rey.
Lundi 14 : Victorino Martín pour Manuel Escribano, David Mora et Mehdi Savalli.
Mardi 15. Matin : six novillos de Robert Margé pour Adrien Salenc, Jesús Enrique Colombo et Carlos Olsina.
Tarde : six Miura pour Rafaelillo et Bautista
Matinée à 11h et tardes à 18h.
Réservations – abonnements: Du 24 avril au 28 juin uniquement par téléphone au 04 67 76 13 45
http://www.arenes-de-beziers.com/infos-location.cfm
Nous reviendrons bientôt sur ces cartels, avec en prime une entrevista de Léa Vicens…
AIGNAN
Rappel…
MUGRON
Changement de cartel :
Le novillero Garcia Navarrete, grièvement blessé lors de la novillada à Madrid, sera remplacé par Ángel Sánchez.
Révélation des novilladas madrilènes de début de saison, spécialiste de l’encaste Santa Coloma et apoderé par le ganadero de Flor de Jara, sa présentation en novillada piquée dans le sud ouest sera un événement majeur du début de saison.
Les aficionados du célèbre tendido 7 de Madrid n’hésitent pas à comparer sa prestation du 2 avril à celle de Talavante en 2006 lors d’une novillada célébrée dans la capitale espagnole.
Vidéo du débarquement des novillos d’El Añadío qui seront lidiés le 17 Avril à Mugron : cliquez ICI et celle du triomphe d’Ángel Sánchz en cliquant Là …
(Communiqué)
ADRIEN
L’Assemblée Générale de la Peña Adrien Salenc – Paul Ricard aura lieu ce vendredi à Arles, à partir de 19h30 au restaurant La Bohême, en la présence du novillero.
Outre les membres de la peña, les aficionados sont invités à cette réception, avec la participation de l’UCTPR…
Le lendemain, samedi 15 à midi…
PASSIONNÉS
FERNAY
La Manade Fernay a le plaisir de vous présenter sa nouvelle brochure, « Visite Privée de l’élevage ».
Offrez-vous un instant magique avec le Manadier…
(Communiqué)
EXPO
Patrick Siméon a eu plusieurs vies…toutes dominées par la passion…
La passion des taureaux d’abord, et pour toujours, qui le poussera à aller au-devant de la mort dans un face-à-face avec l’animal sauvage qui a failli lui coûter la vie.
La passion de l’art ensuite, prolongement naturel de celle des taureaux pour lui. Moins physiquement risquée, mais tout aussi violente et sublime à la fois. Devenu homme et taureau, c’est une lutte créative avec lui-même permanente où se mêlent instinct et pulsion.
Véritable autodidacte, sa démarche est aussi expérimentale que réfléchie (inconsciemment). Son regard se nourrit sans cesse de ce qui l’entoure, de ce qu’il voit, entend, touche, aime, ressent… pour le restituer dans une explosion de couleurs et un tourbillon de formes, où s’exprime toute la force et la douceur de son Être.
(Communiqué)