Dimanche 23 juillet à 18h : six Hnos Martínez Pedrés pour Juan Bautista, Joselito Adame et Luis Davis Adame. 

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A 10h30 : novillada sans picador organisée par le Cercle Taurin Tyrosais. Entrée gratuite.

Jeudi 10 août, à 21h : Corrida portugaise, cinq novillos du Laget pour Oscar Borjas, Mario Perez Langa et les Forcados de Coimbra.

SÉVILLE

Deux tiers d’arène environ, beau temps. Toros de Jandilla et Vegahermosa (2 et 4) inégaux de jeu, plus maniables les 4 et 5.

Juan José Padilla (vuelta puis vuelta avec pétition) a toujours autant d’ambiance dans la Maestranza. Il faut dire que le Pirate fait ce qu’il faut pour s’attirer la sympathie des aficionados, affichant toujours autant d’entrega et de ganas… Il débuta avec un toro huído de salida qui confirmera plus tard ce défaut, bien que noble, ce qui permettra à Padilla d’exécuter tout de même une faena valeureuse, l’épée tombée le privant d’un trophée. Avec le quatrième, le Cyclone de Jerez mit le paquet, par une réception a portagayola suivie de plusieurs largas et d’une competencia au quite avec le Fandi qu’il invita ensuite à partager les palos avec succès.  Faena débutée à genoux et poursuivie par mouvements bien cadencés et variés transmettant aux travées, conclus par entière caídita. Malgré une pétition nourrie, tout se résuma par un nouveau tour de piste. Mais quoi qu’il en soit, le Pirate venait une fois encore de combler ses partisans, et c’était bien là l’essentiel !

El Fandi (applaudissements et vuelta) reçut son premier par deux largas puis partagea les bâtonnets avec les autres avant de s’engager dans un trasteo méritoire brindé au public, face à un toro compliqué qui baissa progressivement de rythme. Avec le quinto, ovation aux banderilles pour le Granadino puis faena décidée, au pont de se faire accrocher sur les rodillazos de l’entame, ce qui n’empêcha pas David de composer une faena ajustée face à cet excellent exemplaire, le meilleur de l’envoi. Entière tombée et comme pour Padilla, refus présidentiel d’accorder un pavillon. Le Fandi gagna ensuite l’infirmerie où a été diagnostiquée une blessure de 6 cm à la cuisse droite, avec dégâts au cuadriceps, de pronostic peu grave.

Manuel Escribano (silence aux deux) reçut son premier a portagayola, partagea les palos avec ses collègues, la terna étant ovationnée, puis débuta sa faena par cambios au centre, le maestro de Gerena devant ensuite aguanter quelques coups de poignard qui ne sont pas passés loin de la cible lors d’une faena sans grande histoire. Epée caída. Avec l’ultime, que Manuel alla aussi accueillir a portagayola, bon capoteo avant un tercio de piques bien administré puis second tercio applaudi à charge du matador. Bon début de faena avec plusieurs séquences bien rythmées, mais l’affaire ne dura pas longtemps à cause d’un opposant  peu enclin à prolonger la séance…

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(Photo : Maestranza – Pagés)

VALVERDE

L’association « Les amis du curé de Valverde » organise le samedi 6 mai une grande fiesta campera avec le maestro Alberto Lamelas. La ganadería de Valverde de Jean-Luc et Geneviève Couturier sera heureuse de vous recevoir au Domaine de Coste Haute, entre Maussane et Saint-Martin de Crau.   Programme de la journée :

9h30 : Accueil des participants et café.

10h : Visite du Campo et entraînement des taureaux sur le torodrome.

12h30 : Démonstration de Doma Vaquera.

13h : Apéritif suivi d’un repas.

15h : Tienta de deux vaches et d’un taureau.

16h : Table ronde avec le matador.  

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Tarifs de la journée complète :

– Membres de l’association des amis du Curé de Valverde : 50 € par personne.

– Non membres de l’association : 70 € par personne.

– Tarifs de l’après-midi (tienta et table ronde) : 30 € par personne.

Renseignements et réservations : 06 64 19 10 36 ou par email à l’adresse : couturierfontetes@orange.fr

Attention, la participation à cette journée est uniquement sur réservation préalable par mail à : couturierfontetes@orange.fr

Si vous ne nous connaissez pas encore bien, suivez le lien www.valverde-concha.com qui vous en dira plus.

(Communiqué)

SAINT-GILLES

Rappel…

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ESPRIT DU SUD

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ROTA

Comme tout novillero, Juan del Moral aspirait à être sacré matador de toros. En ce qui le concerne, à l’instar de beaucoup d’autres, il comptait prendre l’alternative dans sa ville natale, Rota, et ces derniers temps, il était tout près du but puisque la date et le cartel étaient fixés. Dimanche prochain 7 mai, Juan del Moral devait donc faire le paseo avec Alfono Oliva Soto, son parrain, et Chechu comme témoin, toros de Manuel Blázquez.

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Mais en définitive, dimanche prochain, à Rota, il n’y aura pas de toros ! Car c’était oublier un peu vite les orientations de la municipalité PSOE-IU qui dans son programme stipulait qu’il n’y aurait pas de spectacles avec des animaux vivants durant leur mandat. Et qui n’a pas dérogé à sa règle…

Ce qui devrait représenter le retour des toros après douze ans d’absence dans cette cité balnéaire tombe donc à l’eau. Ce n’est certes pas une première, mais à l’évidence, la tactique du grignotage continue et tend à gagner du terrain Triste pour Juan, bien sûr, et à méditer par une aficion qui a peut-être un peu trop tendance à tendre l’autre joue… Ou que ce soit !

EXPO

Bien connu dans le Sud de la France, l’artiste espagnol JUAN BENITO présente ses œuvres récentes à la « CORPS ET AME GALLERY » du 12 mai au 30 juin autour du thème de la Camargue.

La féria de Nîmes 2017 a lieu cette année du 1er au 5 juin, pour le week-end de Pentecôte. A cette occasion, des œuvres de l’artiste JUAN BENITO seront également exposées dans le hall d’accueil de l’Hôtel de prestige L’IMPERATOR, haut lieu de la féria de Nîmes.

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Peintre espagnol, JUAN BENITO travaille durant les années 70 à Saint-Tropez et à Montmartre où il se fait remarquer en 1973 par un des plus grands marchands de tableaux parisiens de l’époque ; Katia Granoff. Il exposera dans sa galerie auprès de grandes signatures comme Marc Chagall.

Artiste voyageur avide de cultures, il passera par Mexico, San Francisco, Montréal et Québec, Costa Rica, San Juan de Puerto Rico, où partout il peint et vend dans les galeries qui lui ont toujours ouvert la porte et partout, il vivra de sa peinture.

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Il revient en France et s’installe en Camargue, c’est là qu’il commence à peindre « ses Arlésiennes ».

De son amour pour la Camargue et du pays d’Arles, il s’inspire de notre culture, notamment à travers les thèmes des taureaux, de la corrida, des arlésiennes, des sévillanes,  dont il traduit avec émotion la majesté et l’allure.

(Communiqué)