Dans une arène comble – no hay billetes affiché -, et face à des toros de Capea inégaux de comportement, le second de vuelta, le trio a triomphé, Pablo Hermoso de Mendoza obtenant une puis deux oreilles, Leonardo Hernández deux oreilles puis applaudissements et Roberto Armendáriz silence puis deux oreilles.
(Photo : Mundotoro)
MONT DE MARSAN
Le novillero Francisco de Manuel – engagé à la novillada piquée de la Madeleine – a triomphé pour l’ouverture de la San Fermín…
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TARASCON
Communiqués de Presse de Lucien Limousin, Maire de Tarascon et de l’école taurine du Pays d’Arles, suite au jugement rendu par le Tribunal de Grande Instance de Tarascon dans l’affaire qui opposait la Ville à l’association « les Gamelles du Cœur » de Nice qui a demandé l’interdiction des deux novilladas programmées dans le cadre de la 4e édition de la Féria de la Jouvenço le dimanche 8 juillet 2018 à 11h et 17h…
La tradition taurine l’emporte à Tarascon !
« Le Tribunal de Grande Instance a rejeté, par un jugement du 5 juillet, la requête d’une association animaliste de Nice « Les gamelles du coeur » tendant à l’annulation de deux novilladas organisées par la Commune de Tarascon le 8 juillet à 11h et 17h à l’occasion de la 4ème feria de la Jouvenco.
En effet, cette association considère que Tarascon ne peut organiser de novillada car il n’y aurait pas de tradition locale ininterrompue de « courses de taureaux », condition sine qua non imposée par le législateur à l’article 521-1 du code pénal.
La Commune, défendue par Maître Ludovic Para, a indiqué que l’adjectif local devait s’entendre de manière étendue, en fonction d’un ensemble géographique. Elle a également fait valoir que la tradition tauromachique persiste encore aujourd’hui ; en effet, 13 villes dans un rayon de 60 kms autour de Tarascon organisent des corridas et des novilladas.
Le Tribunal a retenu cette argumentation en jugeant « qu’une tradition ininterrompue de courses de taureaux peut être invoquée à Tarascon » et qu’en conséquence « la Commune peut licitement organiser des courses de taureaux le 8 juillet 2018 et à toutes autres dates« .
Dans son argumentation, le Tribunal précise clairement que « l’ensemble de ces villes (dont Tarascon) ou villages est lié par une unité géographique, la Camargue, et culturelle quant aux coutumes de férias, fêtes votives et autres manifestations rassemblant la population locale autour de courses de taureaux camarguaises mais aussi espagnoles avec mise à mort des bêtes. Ainsi, les novilladas prévues dimanche 8 juillet 2018 à Tarascon se situent dans la droite ligne de la tradition locale et ne constituent pas de trouble manifestement illicite ou un dommage imminent mais peuvent au contraire bénéficier de l’immunité prévue à l’article 521- 1 du code pénal.«
En outre, l’association a été condamnée à rembourser les frais d’avocat.
Ce jugement fait suite à trois décisions de justice (TGI de Tarascon, 05/06/1990 ; CAA Aix en Pce,09/03/1993 ; C. Cass., 08/06/1994) similaires. »
MIMIZAN
Voir les photos des toros de Loreto Charro pour la corrida de Mimizan en cliquant ICI
Les Réservations sont ouvertes au 07 71 59 96 99…
RION
SÉVILLE
Jeudi dernier, devant environ une demi-arène, la novillada de promotion de Villamarta a été marquée par l’oreille coupée par El Primi, de Séville, et de Villita, de Madrid.
Vuelta pour Fernando Gandullo, de Camas, Alejandro Cano, de La Línea, et Jorge Martínez, d’Almería. Saluts d’Álvaro López, de Sanlúcar.
Voir la vidéo en cliquant ICI
(Photo : Mundotoro – Toromedia)
MÁLAGA
Cartels officiels de la Feria de Málaga 2018…
MURCIA
Cartels officiels de la Feria de Murcia… avec Pepín !!!
Portugal
Après l’Andalousie puis la Comunidad de Madrid, troisième camouflet pour les anti-taurins portugais qui au Parlement, ont vu leur proposition de loi contre la tauromachie balayée par les vote largement défavorables de la plupart des députés… Olé !!!
CONCOURS
La Fédération des Clubs Taurins du Biterrois lance un concours pour la réalisation de l’affiche de ses Journées taurines 2018. Pour obtenir règlement et documents de participation, cliquez ICI …
ALBASERRADA
Le meuglement des veaux à l’occasion du « démérage » à Mirandilla…
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DIABLE VAUVERT
L’été taurin du Diable…
Laurent Desprez : Lucien Gruss, pour la beauté du cheval
La vie et les chevaux d’une légende nationale du cirque équestre, préfacé par Thierry Lhermitte, et enrichi d’une somptueuse iconographie composée d’archives et de photos personnelles inédites.
Célèbre dans le monde entier, le nom de Gruss incarne et symbolise le cirque français. Génie du cirque et du dressage des chevaux, Alexis Gruss, qui a fondé la dynastie, a transmis son art à son dernier fils. La vie de Lucien Gruss est celle d’un enfant de la balle né dans une famille multiple et légendaire, mais aussi celle d’un cavalier et d’un dresseur d’exception qui a su prolonger un héritage en lui ouvrant des territoires nouveaux.
Il aura fallu des heures d’entretiens et la complicité de son ami le journaliste Laurent Desprez, pour que cet homme au charisme inoubliable se livre enfin. Un parcours d’exception qui écrit les pages magnifiques d’une histoire culturelle française.
L’ouvrage est enrichi d’une somptueuse iconographie composée d’archives personnelles et de photographies inédites.
Présentations :
Samedi 14 juillet – 16h – Festival Chevaux du sud aux Saintes Marie de la Mer
Samedi 21 juillet – Féria du Cheval à Méjanes
Ángel Peralta : Le Centaure de la Marisma
Le testament romanesque du grand Ángel Peralta…Une passion andalouse inspirée par sa rencontre avec Ava Gardner : « Dans les marais du Guadalquivir règne un silence profond, de temps à autre traversé par les notes lancées dans l’air marin par les sarcelles et les canards siffleurs… La nuit, le hennissement des chevaux résonne sous le ciel et les taureaux braves se défient de loin en mugissant. »
Avec le laconisme pudique des hommes façonnés par cette terre, Le Centaure de la Marisma raconte l’éternelle histoire d’un amour impossible entre un cavalier andalou et une star américaine, un roman que devait interpréter Ava Gardner…
Né dans la première moitié du siècle dernier en Andalousie, celui qu’on appelle avec respect Don Ángel Peralta a donné ses fondements à la tauromachie à cheval moderne. Grâce à des qualités de dresseur époustouflantes et une technique équestre jamais atteinte, il fut dans les années 1980 le premier à travailler le toro de combat au plus près. Usant de son cheval comme d’une insaisissable muleta et portant plus haut que tous ses prédécesseurs le sens du jeu et du spectacle, il régna sur les arènes pendant plusieurs décennies avec son frère Rafael. Grand matador de toro à cheval, éleveur de chevaux au fer recherché, créateur de spectacles équestres, Ángel Peralta est aussi un homme de grande culture, poète sévillan et auteur de plusieurs livres, où la technique équestre s’accompagne de considérations sur la vie, la valeur humaine et le courage.
Antoine Martin : Fous de fêtes votives
La série se poursuit avec Fous de Fêtes Votives, où l’on retrouve l’humour décalé, l’écriture ciselée et le ton attendri pour un univers qu’affectionne tant son auteur.
Il y a une vie de fête et d’observation dans cette retranscription des ambiances des villes et villages autour des terres camarguaises.
Antoine Martin est né en 1955. Romancier, nouvelliste, traducteur d’espagnol, de catalan et d’italien, il applique un style brillant et un humour sans faille à la recherche d’une littérature qui ne se prend pas au sérieux. On lui doit quelques joyaux domestiques, tels que Le sapeur Pompée et la grande échelle Maryse ou Le Chauffe-eau, premier volume d’une histoire de l’Humanité en trois volumes, dont Juin de Culasse est le deuxième acte. Il a été lauréat du Prix Hemingway en 2009. Après La Cape de Mandrake, Produits carnés est son second recueil de nouvelles taurines au Diable Vauvert.
Jacky Simeon : Une cocarde d’or et de sang
Enfin rééditée, l’autobiographie du grand raseteur Jacky Simeon, légende des arènes camarguaises.
« Jacky Simeon ne s’est pas imposé par la force de tonitruantes déclarations, mais bel et bien par la bouleversante loyauté de son raset et par cette chance qu’il donnait aux cocardiers de l’attraper. Ce qu’ils firent… » Jacques Durand
Présentations :
Samedi 14 juillet – 16h – Festival Chevaux du sud aux Saintes Marie de la Mer
Dimanche 15 juillet – 11h – Dédicace devant les arènes de Beaucaire, avec la Librairie Diderot
Jacky Simeon est né en 1952 à Montpellier. Raseteur torero d’exception, lauréat de la Cocarde d’Or en 1983, il élève la course camarguaise à son apogée, mais se voit contraint de quitter l’arène en 1990, après une grave blessure à l’artère fémorale qui le laisse presque mort. C’est la littérature qui le ressuscitera. Il publie son autobiographie Une Cocarde d’Or et de Sang (Actes Sud, 2002), puis un recueil de nouvelles De l’Eau, des Taureaux et des Hommes (Actes Sud, 2004) et un roman Le Cours du destin (Au diable vauvert, 2010). Il a été finaliste du Prix Hemingway en 2010 avec sa nouvelle Le Goût du sang.
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