Depuis le début de cette temporada, Solalito a décidé de voler de ses propres ailes pour poursuivre son apprentissage sous une forme plus indépendante, avec le soutien de Denis Loré en ce qui concerne notamment la partie technique, et Serge Alméras, pour ce qui est plus administratif. Un duo complémentaire qui entoure au plus près le novillero, qui à mi-temporada s’est déjà fait remarquer à plusieurs reprises, grâce notamment à son succès au Bolsín de Bougue, ce qui présente l’énorme avantage d’être engagé pour cinq novilladas, Bayonne, Plaisance, Mont de Marsan, Dax et Vic. Une importante rampe de lancement pour le Nîmois qui course après course, marque des points auprès des empresas et des aficionados…
Rencontré à Caveirac où il s’entraîne aux côtés de ses deux mentors, Solal a fait le point à mi-parcours et l’occasion était belle aussi de demander leur avis à Serge Alméras et Denis Loré…
SOLALITO
« Après quatre non piquées l’année précédente avec le CFT, cette saison a représenté réellement ma première année intégralement dans cette catégorie. Avec à présent Denis Loré et Serge Alméras, c’est pour moi la combinaison parfaite car ce sont deux rôles et deux visions qui se complètent très bien. Ils me voient tous les deux toréer et peuvent me parler de leur ressenti, celui plus technique du maestro et l’autre plus personnel de Serge, et il me semble très important d’en parler avec eux deux. Pour moi, ça représente un énorme avantage !
Je pense avoir vécu une grande évolution qui s’est notamment traduite dans les reseñas. En début de saison, les revisteros avaient remarqué une jolie main gauche, mais ils ne parlaient pas de la droite. C’est vrai que j’avais pas mal de difficultés de ce côté, j’ai beaucoup travaillé et maintenant, j’arrive à me régaler quasiment autant des deux côtés ! C’est une évolution personnelle, après j’ai à régler mon problème de trac. Avant les courses, je suis très tendu, mais heureusement, dès les premiers capotazos, ça va beaucoup mieux. Pour résumer, dans le patio de caballos, on se dit : « qu’est-ce que je fais là ? » mais à la fin, quand on a les oreilles en mains, on se dit alors… que c’est très bien d’être là !!! Même déjà devant le toro avec la muleta…
J’ai aussi évolué avec les banderilles où ça va mieux, même si je sais très bien que je ne pourrai jamais banderiller comme le Fandi ! Je le fais toutefois à ma manière, j’y ai mis plus de variété, tout comme au capote. Il y a forcément des suertes que je préfère, mais il m’arrive parfois d’en réaliser d’autres pour varier mon jeu. Puis il y a l’épée, qui surtout à mes débuts m’a fait perdre quelques trophées. Je suis revenu à un geste que j’avais précédemment, avec lequel c’était la seule fois où j’avais bien tué ! Avant, je partais de profil, maintenant de face, complètement croisé, et j’essaie de rentrer davantage au ralenti.
Mon manque d’’entrega a constitué un gros défaut qui m’a été reproché. C’est encore très loin d’être acquis, mais ce qui est agréable, c’est que maintenant je me sens torero ! Le dernier exemple, c’est Mont de Marsan où il y avait plus de 4000 personnes et quand on est en costume de lumières et qu’on voit tous ces aficionados, tu te dis que là, tu es torero ! Forcément, on va essayer de faire plaisir au public, mais dans mon cas, je suis plutôt quelqu’un de réservé et là, en piste, je fais un gros effort pour vaincre ma timidité et faire passer ma rage de vaincre avant elle ! Sans tomber dans la vulgarité, en restant moi-même, mais en allant chercher les gens pour qu’après, ce soit eux qui viennent me chercher !
D’ailleurs, après Mont-de-Marsan, j’ai mis plus de demi-heure avant de pouvoir me changer ! Les gens venaient me voir, pour discuter ou me demander des photos, c’était très sympa, même si j’avais envie d’une bonne douche ! C’est une ambiance très agréable, et c’est bien pour ça que je compte continuer à toréer relâché, de façon sincère, pour le respect du public. C’est peut-être ma part d’honnêteté là-dedans et c’est probablement pour ça que les gens m’ont accepté ! »
SERGE ALMÉRAS
« Quand Denis m’a dit qu’il avait vu en Solal pas mal de qualités, j’ai accepté au début plus par principe que par conviction de lui donner un coup de mains. Je le connaissais par rapport aux tentaderos quand il sortait de second, mais à l’époque, je n’imaginais pas que j’allais m’en occuper un jour ! Après, alors que l’on sait combien il faut s’y prendre tôt pour obtenir des contrats, il y a eu l’espoir de s’imposer à Bougue, ce qui lui ouvrirait plusieurs portes.
C’était peut-être techniquement un peu prématuré, mais la seule solution, c’était d’y aller et de s’imposer. Il ne faut pas oublier que le fait de ne pas appartenir à une école nous prive d’échanges potentiel, ce qui nous pousse à appliquer une stratégie différente qui passe par le relationnel, bien sûr, mais qui doit s’appuyer aussi sur les qualités propres du novillero et ses bons résultats.
A Bougue, cette année, le niveau était particulièrement élevé, il est venu des aspirants de Salamanque, de Séville… très talentueux et Solal a dû cravacher pour s’imposer. Le problème, c’était la suite, pour honorer au mieux les contrats obtenus. Jusque-là, il avait en quelque sorte le handicap d’avoir le bac à passer, ce qui constituait un deal avec ses parents, et une fois franchi cet écueil avec succès, obtenant même une mention, il a pu alors se consacrer uniquement au toreo… Avec Denis, nous sommes de suite tombés d’accord pour penser qu’il fallait qu’il mette les bouchées doubles à l’entrainement. En ce qui me concerne, j’essaie de ne pas le laisser passer une semaine sans qu’il ne puisse être en contact avec le bétail, que ce soit pour des tentaderos ou des toros en privé. S’entrainer de salon, c’est bien, mais pour avancer encore plus, il est évident qu’il faut être en contact avec le toro !
C’est pourquoi j’en profite pour remercier les nombreux éleveurs français qui nous donnent un coup de mains. Je n’en citerai aucun de peur d’en oublier, mais qu’ils sachent combien leur soutien est important pour Solal ! En outre, un grand merci aussi à Juan Bautista qui nous a appelés assez souvent lorsqu’il tientait et qui en ces occasions, a prodigué de précieux conseils à Solal, sans oublier les clubs taurins qui nous aident, dont ceux de la Coordination et l’Ayuda…
Avec Denis, nous avons peu à peu découvert un novillero courageux qui au début était un peu réservé, froid, mais qui s’est davantage ouvert. En ce qui concerne ses résultats par rapport à mon attente, on n’est jamais assez satisfait, certes, mais là, je le suis plutôt, dans la mesure où il a bien répondu au plan que l’on avait mis en place avec Denis et qu’en outre, il n’a pas été dans l’ensemble très heureux au sorteo ! Il fallait qu’il se passe à tout prix quelque chose, c’était à lui de se débrouiller et une course après l’autre, il a amélioré ses points faibles pour obtenir des résultats en hausse. Après le rodage de Vauvert et de Nîmes, il est incontestable que Bougue a constitué un déclic. D’ailleurs, mis à part Bayonne où il a pinché une bonne faena, il a triomphé dans les autres courses ! Je crois pouvoir dire que son sérieux à l’entrainement et sa motivation l’ont beaucoup aidé.
Maintenant, pas mal de rendez-vous sont encore au programme, avec Hagetmau dès ce week-end, puis Maurrin, Dax, Rion, Bellegarde et Vic ainsi que d’autres arènes qui n’ont pas encore annoncé leurs cartels. Puis l’Espagne, où déjà au moins deux courses sont prévues, avec la possibilité en cas de succès d’en accrocher d’autres… Au total, Solal devrait participer entre quinze et vingt courses, ce qui compte tenu de la conjoncture, ne serait déjà pas si mal…
D’ailleurs, autour de nous, empresas comme aficionados, certains vont vite en besogne et commencent à nous parler de la piquée, mais je pense qu’il ne faut pas brûler les étapes, ce qui est parfois le meilleur moyen de se griller ! Notre stratégie est claire, pour l’heure, on évalue l’évolution de Solal, il y a encore du chemin à faire et on avisera avec Denis et lui le moment voulu ! Mais c’est encore loin d’être à l’ordre du jour et dans le meilleur des cas, ce ne sera pas avant d’avoir fait une bonne partie de la temporada prochaine en non piquée ! Au sujet de la suite de sa préparation, Solal partira l’hiver prochain en Espagne, où il aura aussi des ouvertures en termes de contrats, à l’invitation d’un maestro, afin de la peaufiner !
Dans un autre domaine, sur le plan du contact avec les aficionados et les empresas, on a été agréablement surpris de voir à quel point Solal a été traité avec sympathie. Il s’est créé autour de lui une petite ambiance, notamment dans le Sud Ouest où il s’est davantage produit, que ce soit sur les gradins et autour des arènes. C’est un garçon qui est avenant, il va volontiers vers les gens et à l’évidence, ils le lui rendent bien… »
DENIS LORÉ
« Sur le plan technique, l’évolution de Solal se fait lentement. Au départ, même s’il affichait à la base certaines qualités, comme la douceur et la lenteur, il avait encore pas mal de défauts à corriger. Mais il n’est pas question de changer sa personnalité ! On travaille divers points techniques avec le capote, la muleta et l’épée qui était son gros problème, mais je pense que l’on est en train de le solutionner. Malheureusement, il lui arrivera encore de pincher des faenas, à l’instar de maestros, mais il est en train de réaliser la suerte comme il faut. C’est un autre Solal, et quand on sait que les triomphes sont au bout de l’épée, il est très important de travailler cette suerte au maximum. Après, il a acquis pas mal de maturité, que ce soit avec le capote ou la muleta, il a du temple, beaucoup de recours et il est varié. Même si parfois ça ne lui sort pas encore comme il faut, il tente de faire des choses. Et ça, c’est extraordinaire ! Ce qu’il faut, c’est aller à la tête du toro avec encore beaucoup plus de ganas et pareil pour en sortir.
Il est en train de se libérer, de progresser lentement mais sûrement et de laisser une bonne image de lui. A chacune de ses sorties, on voit une évolution et les empresas nous en font part aussi. Je préfère ça, une évolution par petites touches, plutôt qu’un triomphe qui resterait sans lendemains ! Il fait son chemin, à son rythme, mais dans le bon sens…
Autre chose, à droite, Solal avait de gros problème et il a fallu s’y pencher pour rectifier sa façon de tenir sa muleta et maintenant, il est aussi à l’aise d’un côté comme de l’autre. Avant, il se faisait trop souvent engancher, et ça, dorénavant, c’est réglé. Même lui, il est à présent hyper a gusto, il a vu le changement. Avant, je lui disais : « c’est très simple, ou on arrive à régler ce problème et celui de l’épée, sinon, on plie bagage ! »
Il s’est remis en question, on a travaillé là-dessus, et je suis maintenant très heureux de son évolution alors que je l’étais un peu moins en début de saison ! Je sens un autre torero, un autre Solal, qui est en train de nous satisfaire. Il a varié son répertoire, et même si ce n’est pas son fort, il progresse avec les banderilles. Il fait l’effort de les poser, c’est un plus, si la troisième est mal posé, il va en prendre une quatrième… J’estime que notamment en non piquée, assurer le second tercio est un atout supplémentaire. Certaines empresas le demandent et il a fait l’effort, ce qui a été apprécié, son geste comme sa parole.
Concernant la suite de sa saison, il reste sept ou huit courses importantes, Solal doit rester dans cette dynamique et se maintenir constamment sur un plan de progrès. Il est en train de le démontrer et c’est ce qui nous pousse à présent à se bagarrer pour lui, parce qu’il le mérite ! La course qui nous a fait un petit peu de mal dans le Sud Est, c’était Nîmes, il avait très peu de non piquées derrière lui, mais je reste persuadé que les gens qui l’ont vu à Nîmes et qui vont le revoir à Bellegarde ne vont pas le reconnaître ! »
TRAJECTOIRE
Né le 17 décembre 2000, Solal Calmet « Solalito » a découvert la tauromachie vers l’âge de six ans en allant pour la première fois aux arènes de Nîmes avec ses parents.
Très rapidement, il a demandé à rejoindre une école taurine. C’est donc à sept ans qu’il s’est inscrit au Centre de Tauromachie de Nîmes.
A 10 ans, lorsque le Centre Français de Tauromachie ouvre de nouveau ses portes, il s’y est inscrit. Au « CFT », il pourra tuer pour la première fois un becerro lors d’un voyage à Salamanca, à La Fuente de San Estebán, le 7 mars 2014.
L’année d’après, il s’est présenté en public à Sanlúcar de Barrameda où il a coupé ses deux premières oreilles le 19 avril 2015. Cette année-là, il enfila son premier costume de lumières à Fréjus, le 5 septembre, coupant deux oreilles symboliques.
2016 sera une année de rodage : il a peu toréé en public et surtout en classe pratiques sans mises à mort. Il a coupé deux oreilles symboliques à Eyguières, à Plan d’Orgon, ainsi qu’à Azille, puis une queue à Fréjus. Il a participé également au Bolsín de Canal Plus Toros (Madrid) à Miraflores de la Sierra et coupé une oreille, mais ne sera pas qualifié. En France, nous le verrons tuer à St-Gilles (une oreille), Gimeaux (ovation) puis le 11 septembre à St-Sever (saluts).
Il faudra attendre 2017 pour qu’il ait l’âge légal pour débuter en sans picadors, ce qu’il fera le 26 mars 2017 à Vauvert, remportant le trophée du triomphateur de l’après-midi avec l’unique oreille coupée. Nous le verrons également en août à Istres le 6 (2 oreilles), à Saint-Gilles le 19 (2 oreilles et prix du triomphateur), à Carcassonne le 26 août (1 oreille, perdant trois autres oreilles à l’épée, mais remportant le prix du triomphateur). Il a toréé deux classes pratiques, l’une à Manduel le 17 (1 oreille en demi-finale du Bolsín de Nîmes Métropole) et l’autre à Gimont le 24 septembre (1 oreille et prix Alfonso Guardiola).
L’année 2018 sera une année particulière car Solal a décidé après près de dix ans d’école taurine, de quitter celle-ci pour rejoindre Denis Loré et Serge Alméras pour une expérience nouvelle et prometteuse.
La temporada 2018 a commencé avec une novillada à Vauvert le 18 mars, où il sera vainqueur pour la 3ème fois consécutive du Printemps des Jeunes Aficionados, en saluant après une belle faena avec un eral de Michel Barcelo. Ensuite, il a participé au Bolsín de Bougue, le 5 mai. Après s’être sélectionné avec les vaches, il a toréé la demi-finale puis la finale où il coupera une oreille et remportera ce Bolsín. Le lendemain, à Nîmes, il a coupé une oreille et a fait une vuelta après une grosse pétition.
La temporada est lancée et Solal sera déclaré triomphateur de La Brède le 23 juin (3 oreilles), de Castelnau-Rivière-Basse le 31 (2 oreilles), de Plaisance-du-Gers le 14 juillet (2 oreilles) ainsi que Mont de Marsan le 19 juillet (1 oreille). Le seul échec de la saison a lieu à Bayonne le 1er juillet où Solal voit lui échapper 2 oreilles à cause d’un mauvais maniement des aciers.
• Première mise à mort : 07/03/2014 La Fuente de San Estabán (Salamanca)
• Présentation en public : Sanlúcar de Barrameda (2 oreilles)
• Premier costume de lumières : Fréjus 5/09/2015 (2 oreilles symboliques)
• Première novillada sans picadors : 26/03/2017 à Vauvert (une oreille)
Temporada 2016 :
• Azille 01/05/20162 : oreilles (symboliques)
• Fréjus 10/07/2016 : 2 oreilles et la queue (symbolique)
• Eyguières 13/07/2016 : 2 oreilles (symboliques) et prix du triomphateur
• Miraflores de la Sierra 15/08/2016 : 1 oreille Bolsín de Canal Plus Toros Espagne
• Saint Gilles 21/08/2016 : 1 oreille
• Gimeaux 09/2016 : Ovation
• St-Sever 11/11/2016 : Saluts
Temporada 2017 :
Novilladas sans picadors :
• Vauvert 26/03/2017 : 1 oreille et ovation et prix du triomphateur
• Istres 06/08/2017 : Ovation et 2 oreilles
• Saint Gilles 19/08/2017 : 2 oreilles et prix du triomphateur
• Carcassonne 26/08/2017 : 1 oreille, Ovation, Vuelta et prix du triomphateur
Classes pratiques :
• Manduel 17/08/2017 : 1 oreille en demi-finale du Bolsín de Nîmes Métropole
• Gimont 24/09/2017 : 1 oreille et Trophée Alfonso Guardiola
• Plan d’Orgon 25/06/2017 : 2 oreilles (symboliques)
• Nîmes 8/04/2017 : 1 oreille (symbolique)
Temporada 2018 :
Novilladas sans picadors :
• Vauvert 18/03/2018 : Saluts et prix du triomphateur
• Bougue 05/05/2018 : Silence et 1 oreille et gagnant du Bolsin
• Nîmes 06/05/2018 : 1 oreille et vuelta et 2nd prix
• La Brède 23/06/2018 : Oreille et 2 oreilles et prix du triomphateur
• Castelnau-Rivière-Basse 31/06/2018 : 1 oreille et 1 oreille et prix du triomphateur
• Bayonne 01/07/2018 Ovation
• Plaisance-du-Gers 14/07/2018 : 1 oreille et 1 oreille et prix du triomphateur
• Mont de Marsan 19/07/2018 : 1 oreille et prix du triomphateur
Suerte, Solal, pour la suite de ta temporada, à commencer dès ce samedi à Hagetmau !!!
VERGÈZE
Le club taurin Fiesta Brava de Vergèze vous informe que la Féria du Rhôny 2019 aura lieu les 9-10-11 et 12 mai…
(Communiqué)
RISCLE
SANTANDER
Avec la pancarte du « no hay billetes » accrochée aux taquillas et face à des toros de Garcigrande, le 3 de Domingo Hernández, triomphe de la terna qui est sortie a hombros…
Silence puis deux oreilles pour Enrique Ponce, oreille et oreille pour El Juli et Ginés Marín.
Voir la vidéo de la faena de deux oreilles de Ponce en cliquant ICI
SALAMANCA
Cartels officiels de la, Feria de la Virgen de la Vega 2018qui se déroulera du 12 au 21 septembre…
Mercredi 12 : six novillos de José Cruz pour David Salvador, Antonio Grande et Diego San Román.
Jeudi13 : six Montalvo pour Antonio Ferrera, Sébastien Castella et Ginés Marín.
Vendredi 14: six Vellosino pour Morante de la Puebla, Manzanares et Juan del Álamo.
Samedi 15 : six Puerto de San Lorenzo pour Juan José Padilla, Domingo López Chaves et Luis David Adame.
Dimanche 16 : six Garcigrande/Domingo Hernández pour Enrique Ponce, El Juli et Andrés Roca Rey.
Vendredi 21 : six Sánchez y Sánchez pour Pablo Hermoso de Mendoza, Léa Vicens et Guillermo Hermoso de Mendoza.
(Photo : choperatoros)
SIGNES
CFT
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FONSECA
Le mercredi 25, à Collado Villaba (Madrid), pour les traditionnelles Fêtes de Santiago Apóstol, devant un tiers d’arène et face aux erales de Navalrosal, triomphe d’Isaac Fonseca qui a coupé trois oreilles, une puis deux.
Silence, oreille puis silence pour Alejandro Rodríguez et oreille puis blessure pour Álvaro Sánchez.
(Photo : Joël Buravand – Album : ICI)