Joël Buravand nous a quittés à l’orée de la prochaine temporada…
Nous étions quasiment voisins à Nîmes et au gré de ses péripéties ibériques, le plus souvent dans des pueblos qui donnaient course plutôt que dans les arènes les plus réputées, il collaborait à torofiesta avec l’envoi de quelques clichés.
Joël était la simplicité même et d’ailleurs, cela se ressentait dans sa façon d’être comme dans son travail car il donnait surtout d’importance aux plus humbles, les moins en vue mais tellement indispensables. Un peu à son image, donc, la sympathie comme en plus…
Terrassé par la maladie, celle que l’on dit longue, on ne le verra plus autour des ruedos qu’il a longtemps fréquentés. Encore un qui sera de manque, hélas. QDEP…