Au cas où vous ne le sauriez pas…

 

« Francisco de Goya

Il aimait les taureaux,

 

Rafael Alberti

Il aimait les taureaux,

 

Pablo Picasso

Il aimait les taureaux,

 

Agustín Lara

Il aimait les taureaux,

 

Ernest Hemingway

Il aimait les taureaux,

 

La belle Ava Gardner

Elle aimait les taureaux,

 

Le dodu Orson Welles

Il aimait les taureaux,

 

José Bergamín

Il aimait les taureaux,

 

Gerardo Diego

Il aimait les taureaux,

 

María Félix

Elle aimait les taureaux,

 

Ignacio Zuloaga

Il aimait les taureaux,

 

García Lorca

Il aimait les taureaux,

 

Miguel Hernández

Il aimait les taureaux,

 

Ortega y Gasset

Il aimait les taureaux,

 

Indalecio Prieto

Il aimait les taureaux

 

Et mon grand-père aussi…

 

 

 

… Miquel Barceló

Il aime les taureaux,

 

Joan Manuel Serrat

Il aime les taureaux,

 

Mario Vargas Llosa (†2025*)

Il aime les taureaux,

 

Caballero Bonald († 2021*)

Il aime les taureaux,

 

Enrique Morente

Il aime les taureaux,

 

Albert Boadella

Il aime les taureaux,

 

Gabo García Márquez († 2014*)

Il aime les taureaux,

 

Rosa Aguilar

Elle aime les taureaux,

 

Et moi aussi… ».

 

Joaquín Sabina .

2008.

 *NDLR

Datos

 

Joaquín Ramón Martínez Sabina, dit Joaquín Sabina, est un auteur-compositeur interprète espagnol né à Úbeda le 12 février 1949.

À quatorze ans, Joaquín Sabina commence à écrire des vers. Un peu plus tard, il se passionne pour des auteurs comme Jorge Manrique, Marcel Proust et James Joyce.

Il lance son premier groupe musical avec d’autres adolescents appelé les Merry Youngs, sur des thèmes d’Elvis Presley, Chuck Berry ou encore Little Richard.

Sabina a milité contre le régime franquiste, assistant à des assemblées du PCE (Parti communiste d’Espagne) ou à des réunions pour organiser des complots contre Franco.

Il montra à plusieurs reprises son engagement pour défendre les valeurs idéologiques du parti politique espagnol La Gauche unie (Izquierda Unida). Dans les années 1970, il lance un cocktail Molotov contre une agence bancaire pour protester contre le Procès franquiste de Burgos, ce qui lui valut de s’exiler à Londres et en Argentine.

Très aficionado, « Yo de niño nunca soñé ser cantante, yo soñé ser torero », Joaquín Sabina est ami avec beaucoup de toreros (José Tomás, Talavante…).

 

« Sabina, amigo y admirador confeso de José Tomás, es un firme defensor de la libertad individual para acudir a la Fiesta de los toros, y se ha significado siempre en su defensa. La última vez, en una entrevista concedida al diario “20 minutos”, en la que responde a la campaña desatada en Cataluña. « El que no quiera ir a los toros, que no vaya. Y que se dejen de tocarnos los cojones, que hay cosas más importantes. Pero que no hablen de ecología ni de amor a los animales, porque no conozco a nadie que los ame más que los ganaderos y los toreros« , afirma. (La Razon).

Récemment (février 2025), Joaquín Sabina a dédié sa chanson «Calle Melancolía» à Andrés Roca Rey lors d’un concert en direct qu’il a donné à l’Auditorium national de Mexico, dans le cadre de sa tournée internationale « Hola y Adiós 2025 ».

En septembre 2023, Sabina avait dédié l’un de ses deux concerts à La Maestranza de Séville à Curro Romero.

Patrice Quiot