« Mais comment rendre tout à fait à l’humain, cette abstraite force qui balaie les inhibitions ? Inconstant daïmôn protecteur qu’on ne saurait maîtriser, et à quoi servent alors érudition et discipline ? Il modifie d’un coup la stature, le front, le visage du torero et lui prête la légèreté de cœur nécessaire au chant profond de sa faena». In Faraon, éd. Horchata de Chufa, 1996.

Bonne lecture, Bruno Doan

(Communiqué – Page taurine de Jacques Durand – Atelier Baie)

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