Samedi 15 août, corrida mixte, toros de Fermín Bohórquez (rejón) et Margé pour Léa Vicens, Enrique Ponce et Sébastien Castella :
Bloquée à environ 500m des arènes, une manif anti-corrida regroupant environ 200 personnes venues d’un peu partout a lancé les slogans habituels qu’il est certainement inutile de vous rappeler, tellement ils les serinent à longueur de courses. La distanciation, au demeurant terme très à la mode actuellement, a permis de nous éviter pendant la corrida les éternelles protestations sonores étayées par son lot d’instruments en tous genres. Par ailleurs, le maire Robert Ménard avait préalablement accepté de les rencontrer, mais compte tenu de l’attitude de certains manifestants et la détermination du premier édile pour confirmer sa volonté de défendre les traditions taurines dans sa cité, l’affaire avait tourné court. Olé !
Le baryton Frédéric Cornille a une nouvelle fois interprété l’air du toreador, de l’opéra Carmen, pour le paseo.
Rencontre équine sur le Plateau de Valras !
Le sobresaliente Jérémy Banti aux côtés des deux maestros.
Sébastien Castella, un Maestro Impérial ?
Dimanche 16 août au matin, novillada non piquée avec des becerros de Robert Margé pour Christian Parejo, Tristán, Javier Camps et Lenny Martin.
Paseo avec de gauche à droite Tristán, Lenny Martin, Javier Camps et Christian Parejo.
Brindis de Christian Parejo à son apoderado Tomas Cerqueira qui par ailleurs s’occupe de l’école taurine de Béziers avec Cayetano Ortiz.
Banderilles risquées pour Tristán. Bieenn !
La seule oreille de la matinée pour Javier Camps.
Que ça doit faire drôle vu de si près, n’est-ce pas Lenny ? Valiente !
Dimanche 16 août. Tarde : bétail de Bohórquez, Cuillé, Pagès-Mailhan, Margé, Fernay, Malaga et Gallon pour Léa Vicens, Sébastien Castella, Manuel Escribano, Miguel Ángel Perera, Paco Ureña et Carlos Olsina, œuvre collective avec le sobrero de regalo.
Pour son départ, Robert Margé entouré de l’équipe des arènes pour la photo souvenir…
En rouge et blanc, comme… Nîmes Olympique !
Famille Mailhan, ô combien ganadera !
Brindis de Sébastien Castella à tous ses compañeros.
Les ganas et la vaillance de Carlos Olsina face à un Malaga impressionnant et compliqué. Olé, tus cojones !!!
Quite por colleras de Manuel Escribano et Carlos Olsina.
Miguel Ángel Perera a frôlé le pire en tout début de faena. Une boite aussi violente que spectaculaire !
Indulto !!! (Pour les querelles byzantines, on repassera…)
Trois générations de Margé réunies dans le callejón.
Brindis de Paco Ureña à Sébastien Castella qui a payé de sa personne tout au long de ce festival.
Florian Vacquerin interprétant le « Se Canto » au sixième toro.
VIDÉO
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