Parution du N°1467 : La bravoure n’est pas interminable…
On peut faire un très bon repas avec un ou deux plats délicieux. Il n’est pas nécessaire que cela dure deux heures, que se multiplient les mises en bouche, qu’on rajoute plus de frites ou qu’on s’éternise sur les sucreries, le digestif ou le café. Il en est de même pour les faenas des toreros, qui profitent jusqu’à l’excès du toro le plus noble de toutes les époques.
Pour une feria comme la San Fermín, dont les deux premières corridas ont été relativement courtes, j’ai noté onze avis pour quatre courses, et une seule au cours de laquelle on n’a pas entendu de rappel au clairon, celle de Morante comme par hasard…
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