Alain Montcouquiol a été torero. Puis quelqu’un en lui est devenu « l’homme en noir » qui évite, les jours de corrida, de, en bas de chezlui d’où au petit jour il observe des vols d’étourneaux, trop s’approcher de la statue de Christian, son frère. Ou de se faire photographier devant par un ami mexicain venu à Nîmes. C’est Iginio le photographe orphelin, celui qui pour pouvoir célébrer la fête mexicaine des morts a adopté les occupants inconnus d’une tombe… 
 
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(Photo : André Hampartzoumian)