CASTELLÓN

Environ 2/3 d’arène, pluie au début. Six toros de Victorino Martín donnant un jeu inégal, plus intéressants les 1, 3 et 4.
« Les toros, il faut les tuer : », entend-on souvent dire. Car il est bien connu que c’est la condition sine qua non pour couper des oreilles.
Et c’est bien ce qui fit défaut ce jour aux deux « espadas » qui ont vu s’envoler les trophées au terme de combats parfois très méritoires. Otra vez…

Miguel Ángel Perera : saluts, saluts et silence.

Emilio de Justo : saluts, saluts et silence.
(Photos : Mundotoro)