On aurait pu l’appeler Mister. Mister Bernadó. Visage sévère, impassible, maintien de gentleman, le quant à soi, timide aussi dit-on, cheveux noirs lissés en  arrière,  jamais  dépeigné,  tauromachie  select,  fine  et  exacte  sauf  à l’estocade. Le « torero du tergal » selon le critique K Hito qui créditait ce torero cent pour cent catalan, d’un «  duende » sévillan et plus précisément  de  Triana  puisque  ces  fables  locales  avaient   peut-être  à  cette époque leur raison d’être.
 
jb07h
 
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