Celle de l’espadrille, des bonnes sœurs, des tricornes noirs de la Guardia Civil, de la corrida comme intense passion populaire et moyen de sortir de l’indigence ? Des photographes catalans. Peu ou pas aficionados. 
 
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Oriol Maspons, Ramon Masats, Leopoldo Pomés… (cf. La page taurine 269). Leurs œuvres « taurines » sont jusqu’au 14 mai, exposées à Arles avec celles de Carlos Cazalis, le photographe de José Tomás, à la galerie Anne Clergue…
 
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http://editions.atelierbaie.fr/10-la-page-taurine-de-jacques-durand.html