Beau temps revenu, trois quarts. Six toros de García Jiménez frères manquant de race la plupart.
 
Diego Urdiales :  silence et saluts.
 
Cayetano : saluts et silence.
 
Paco Ureña : saluts aux deux.
 
Avec un bétail qui le plus souvent a failli, soit par manque de forces ou de bravoure, les choses restèrent en deçà de la décision affichée par les trois maestros. 
 
Si l’on devait établir une échelle des valeurs, la palme irait toutefois à Paco Ureña qui subit une spectaculaire voltereta au cours de sa première faena brindée à Emilio de Justo qu’il était venu remplacer. Avec l’ultime, il passa très près de l’obtention d’un trophée que le palco lui refusa après pétition pourtant assez nourrie. Mais ni Urdiales, ni Cayetano, n’ont été avares de gestes de classe, sans pouvoir totalement s’imposer…