À la hauteur des guichets de la plaza de toros, un pioupiou, pour déconner, l’a cité de derrière la barrière. À cette époque, il n’y avait sur l’encierro de Pampelune qu’une seule barricade de protection. Liebrero charge, traverse les planches. Aurélia était sur son chemin…
 
pamp12h
 
http://editions.atelierbaie.fr/10-la-page-taurine-de-jacques-durand.html
 
(NDLR : Publication tardive à cause des perturbations informatiques de ces derniers jours… Mais comme on dit, mieux vaut tard…)