En effet, pour mieux cerner la personnalité de Léa, les jeunes des « Chicuelitos » ont rencontré… son frère Antoine ! De larges extraits ci-dessous…
 
LOS CHICUELITOS : Pouvez-vous nous raconter en préambule l’origine de l’aficion de votre famille ?
Antoine Vicens : Mon père est né à Nîmes d’un père d’origine espagnole. Comme beaucoup de gens de sa génération qui ont eu 20 ans à la toute fin des années 60, il est entré dans une aficion assez active puisque fondateur et membre important du club taurin un peu atypique de Patrick Varin. Tout naturellement, je me suis retrouvé encore petit garçon au début des années 80 parmi une cinquantaine de personnes au sein de ce club dans les tribunes de Nîmes – exactement le vomitoire 111 – en assistant aux corridas. Je ne me souviens pas que ma sœur ne nous ait jamais accompagnés puisque le club taurin Patrick Varin a cessé d’exister au début des années 90 quand elle n’avait pas encore 6 ans.

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LC : Avez-vous des souvenirs sur l’origine de l’aficion de Léa ?
AV : Je crois qu’elle allait aux arènes beaucoup moins que moi. N’ayant que peu eu la possibilité d’y aller avec mon père, elle était finalement moins imprégnée donc moins passionnée que moi. Ses seules férias complètes sont advenues quand elle est devenue placière, donc pour des raisons économiques. Elle est réellement rentrée dans ce milieu quand elle a été alguazil chez Bonijol pendant 2 ou 3 ans, grâce aux chevaux, en définitive.

LC : Elle savait déjà monter avant de devenir alguazil ?
AV : Mais elle est née sur un cheval Léa ! Mon père en possédait, elle a su monter très vite. Elle a de plus suivi des cours avec un instructeur très qualifié qui lui a conféré un excellent niveau dans le plus pur style de monte camarguaise.

LC : Avez-vous le souvenir d’un déclic chez elle, un jour où elle aurait dit : « je veux devenir rejoneadora » ?
AV : Je ne sais pas. Ce qui est sûr, c’est qu’une fois qu’elle l’a décidé, elle a eu l’objectif farouche d’y arriver. Mais ce qu’on lui a donné au départ, elle ne l’avait pas forcément cherché. Les rencontres essentielles qui la menèrent à ce qu’elle est aujourd’hui se sont faites par hasard.

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LC : Justement, comment avez-vous perçu sa décision de partir en Espagne ?
AV : Léa est secrète et ne nous avait rien dit. Comme la plupart de ses rencontres là-bas ont été fortuites, ça a dû se décider en quelques secondes, ce qui fait qu’elle ne partait pas en Espagne pour toréer, mais simplement pour un voyage d’agrément. Toute la famille a été mise devant le fait accompli alors qu’elle était déjà là-bas et à 20 ans, elle n’avait pas de compte à nous rendre.

LC : C’est donc durant ce séjour en Espagne qu’elle a rencontré Don Ángel Peralta. Pensez-vous que ceci fut déterminant pour son choix de carrière ?
AV : C’est indéniable. Un de ses amis s’est chargé des présentations. Il n’a fait aucun cas d’elle avant d’apprendre qu’elle savait monter à cheval. C’est à ce moment qu’il s’est intéressé à elle sur de la pure technique de cavalerie et lui a proposé d’en faire son métier. Sans cette rencontre, je ne suis pas convaincu que Léa aurait fait du rejón. Il lui a d’abord révélé une passion avant d’être une aide technique et logistique évidente, en la rémunérant pour le dressage des poulains et en mettant à sa disposition des boxes, des manèges de chevaux, des toros et son arène de tienta.

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LC : Du coup, quel est a posteriori votre regard sur cette expérience andalouse ?
AV : Une franche réussite d’abord, puisque c’est ce qui a fait ce qu’elle est aujourd’hui. Cela fait maintenant trois ans quelle est dans le circuit du rejón, ça représente cinq ans de travail acharné et je pense sincèrement qu’elle a été courageuse d’en faire autant. On parle là de dix heures de monte par jour, des investissements financiers colossaux, la gestion d’une équipe au quotidien, etc…

LC : Votre sœur a choisi la corrida à cheval. Que pense l’aficionado que vous êtes du rejoneo ?
AV : J’aime ça et j’ai appris à connaître. Indépendamment de ma sœur, j’ai toujours eu du mal avec l’idée de discréditer le rejón par rapport à la corrida à pied. C’est à mon avis un mal bien franco-français car en Espagne, ils ne font pas de différence. Des grands toreros comme El Juli ou Ojeda pensent que la tauromachie fondamentale se fait à cheval. Je suis intéressé par le nouveau rejoneo, des gens comme Diego Ventura par exemple. J’apprécie la qualité du dressage, sans pour autant en être expert.

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LC : Si le rejón touche un public de plus en plus spécifique et qu’il reste boudé par une grande majorité d’inconditionnels de la corrida à pied, pensez-vous que votre sœur soit capable d’inverser la tendance durablement ?
AV : Je ne pense pas car ce sont vraiment deux travaux trop différents à leurs yeux, bien que dans les deux cas, cela reste de la tauromachie. Le clivage demeurera et ce que va faire Léa pour l’amour du cheval est assez éphémère, un épiphénomène. Le rejón peut cependant être une bonne introduction pour les non-initiés, les plus jeunes.

LC : Que vous inspire le fait que Léa prenne son alternative dans les arènes de Nîmes, et de mains aussi prestigieuses ?
AV : Le simple fait que ma sœur prenne son alternative est déjà intense en émotion et je ne peux pas vraiment le mesurer. Que ce soit à Nîmes, notre ville, est aussi extrêmement important en même temps qu’inquiétant. Le surplus de pression de toréer devant son public, sa famille, ses amis est énorme. J’ai un peu peur qu’elle soit submergée et j’angoisse à l’idée qu’elle pourrait échouer. Concernant le cartel, je le trouve très bien et ce pour trois raisons. Diego Ventura premièrement, qui est à mon sens le meilleur et qui est un ami intime de Léa. Deuxièmement, la présence de Paco Ojeda donne au cartel un aspect médiatique assez « casassien ». Enfin, et bien que ce soit passé sous silence à peu près partout, l’alternative sera aussi donnée de façon honorifique par Don Ángel Peralta, qui fera le paseo malgré ses presque 90 ans. Et eu égard à toute l’importance qu’il a eu dans la naissance de cette carrière pour Léa, ce sera encore un peu plus d’émotion.

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LC : On a coutume d’effectuer un brindis le jour de son alternative. Croyez-vous Léa capable de dédier un toro à un membre de votre famille ?
AV : Je ne sais vraiment pas. Jusqu’à maintenant elle n’en a jamais brindé à qui que ce soit ; famille, ami ou professionnel. Je n’ai donc aucune idée, aucun indice. Tout ça se passe dans sa tête. A priori, pour une alternative, on en brinde au moins un, donc je pense qu’elle le fera. Un brindis pour les arènes de Nîmes aussi serait beau, vu le nombre de gens qui vont se déplacer pour la voir. Mais je n’en sais vraiment rien.

LC : Vous avez évoqué la peur de l’échec ou de sa gestion de l’évènement tout à l’heure. Mais de manière plus pragmatique, est-ce qu’un frère ressent de la peur pour sa sœur torera dans une arène ?
AV : Déjà, je n’ai pas vu souvent ma sœur toréer. Généralement, j’ai peur au tout début de sa lidia parce qu’elle torée toujours en troisième après des gaillards, des armoires à glaces tels Andy Cartagena ou Fermín Bohórquez qui doit faire deux mètres ! Et Léa, elle est comme ça (il montre son petit doigt) ! Bien qu’elle « connecte » rapidement, son côté frêle fait qu’on a peur par comparaison avec le toro de 500 et quelques kilos… Donc la peur de l’accident est présente pendant au moins les premières minutes, mais toujours entremêlée avec la peur qu’elle puisse échouer dans sa tentative. Sa manière d’approcher le toro au début est assez déconcertante, dans la mesure où elle cherche les terrains, à placer sa tauromachie assez profonde qui laisse peu de places aux adornos. Enfin, la peur après s’être estompée se réveille au moment de la mise à mort, mais parce que c’est l’instant fatidique, là où sa prestation va être récompensée ou non et ce bien que la plupart de ses faenas ont fait tomber une ou deux oreilles, voire plus.

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LC : Pour les quelques fois où vous avez-vu Léa toréer, avez-vous été sensible à son expression artistique ?
AV : Oui, sincèrement et je pense que c’est le cas de beaucoup de gens. Sa qualité première c’est sa monte, son assiette parfaite, sa capacité de ne faire qu’un avec son cheval. Elle a un travail académique extrêmement poussé et précis ainsi qu’un registre profond, un peu à contre-courant de ce que peuvent faire ses compagnons de cartel. Sans médire sur eux à aucun moment, des gens comme Diego Ventura ou Andy Cartagena toréent beaucoup les « moments entre deux » si j’ose dire, donnant peut-être plus d’importance aux adornos qu’à la tauromachie fondamentale. Léa, elle, s’épure. C’est sa stratégie, ce que lui enseigne son conseiller technique et c’est profondément ce qui lui plaît. Et je suis assez sensible à ce côté épuré, sans trop de fioritures.

LC : De manière plus générale, que pensez-vous de la place des femmes dans la corrida ?
AV : J’ai un peu de mal, physiquement parlant, avec les femmes qui toréent à pied. Il y a un problème de silhouette. Que les toreros soient gros, filiformes, bedonnants ou hiératiques, je m’en moque. Mais avec les femmes, j’ai du mal avec leur bassin, peut-être, un je ne sais quoi qui me dérange. A cheval, je n’ai pas ce problème. Je trouve ma sœur très élégante, et il faut qu’elle joue de sa féminité. Mais dans son monde, elle est à sa place. C’est Fermín Bohórquez qui disait d’elle : « elle est torera, point. » ; ce qui est plutôt sympa comme réaction.

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LC : Marie-Sara était une importante célébrité des années 90, croyez-vous à une future notoriété identique pour votre sœur et l’appréhendez-vous ?
AV : Je ne l’appréhende pas mais je pense que ça n’arrivera pas. Marie Sara est une grande cavalière, grande torera, pionnière mais également grande communicante, avec une vraie tendance vers le business. Ses fréquentations ont fait qu’elle a été très vite médiatisée et conformément à sa volonté. Léa ne recherche pas ça et même si elle a aussi beaucoup de réseaux, je ne pense pas que ça arrivera. Au mieux, elle sera connue comme un Sébastien Castella, si jamais elle atteint son niveau, c’est-à-dire célèbre dans son milieu, mais inconnue du grand public.

LC : Comment voyez-vous le futur de votre sœur ? Pensez-vous qu’elle va continuer à toréer tant qu’on lui proposera des contrats ? Craignez-vous que ce ne soit qu’une passade ?
AV : Je ne sais pas. Léa le saurait elle-même. Tant qu’elle peut continuer, elle le fera car elle a la logistique. Seule l’absence de contrat pourrait théoriquement corrompre son avenir de rejoneadora et si ceux-ci manquent, ce sera par rapport à ses performances, donc elle a son destin entre ses mains. Et puis une alternative à cheval, c’est très différent d’une alternative à pied. Beaucoup de novilleros ont du mal à passer le cap entre le novillo et le toro, chose qui n’existe pas dans le rejón. Il n’y a pas de novillos combattus  à cheval. L’escalafón de la discipline est unique, sans séparation. Léa doit être 6 ou 7ème alors qu’elle n’a pas encore pris son alternative et coexiste au milieu du quadragénaire confirmé ou de l’adolescent qui monte.

LC : Si jamais elle ne devait plus toréer, croyez-vous qu’elle resterait quand même dans le milieu, un peu à la manière de Marie Sara, ou peut-elle l’abandonner ?
AV : L’abandonner, elle ne pourra pas. Déjà parce que son cercle d’amis est presque exclusivement constitué de gens du métier. Si elle devait cesser, je la vois bien rester auprès des chevaux, c’est une évidence. Peut-être apoderada, à condition que ça lui plaise. Mais elle ne pourra pas quitter les chevaux, c’est impossible…

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(NDLR : Marie Sara sera aussi présente en piste, sans toréer, lors de l’alternative).

ALBACETE

Dans une arène pleine, Miguel Ángel Perera a indulté « Pescador », toro de Daniel Ruiz. Auparavant, il avait coupé une oreille à son premier, El Juli l’accompagnant dans sa sortie a hombros pour avoir obtenu un trophée à chacun de ses opposants.

A noter que pour l’indulto, le président a refusé d’accorder tous les trophées, Perera, sous l’emprise de la déception et de la colère, jetant sur le sable les deux oreilles concédées !

Quant à Pablo Hermoso de Mendoza, il a obtenu une oreille avec son second Hermanos Sampedro.

 REVIVRE

 Club Taurin Marc Serrano…

 Déjà 15 ans d’existence pour notre Club Taurin. Bien sûr, nous nous devions de fêter, comme il se doit, cet événement. Nous l’avons d’ailleurs fait le 7 avril dernier.

 A l’initiative des aficionadas de notre Club Taurin,  présentes ce jour là, nous avons décidé d’organiser le revivre de cette belle journée.

 Marc et son Club vous attendent donc le lundi 30 septembre  pour une nouvelle fiesta campera.

 Comme en avril dernier, cette journée taurine aura pour cadre l’Andalousie, et plus précisément les deux fincas de Jean-Marie Raymond à Constantina (60 km de Sevilla).

 ATTENTION : pour vous permettre de goûter  aux charmes de l’Andalousie et pourquoi pas de profiter de Sevilla et de ses corridas de la San Miguel, nous vous laissons le soin d’organiser vous-même votre déplacement (transport et hôtel).

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 Au programme de cette journée :
– Rdv à 10h aux alentours de Constantina  (Précisions après votre inscription).
– Arrivée dans les ganaderías. Tienta de vaches et tentadero d’un  macho dans les arènes.
– Apéritif et tapas. Repas. Dessert. Vins. Le tout à volonté, mais avec raison.   
– Visite du campo.
– Quelques surprises sont en prévision.
– Le Prix de cette journée, de complet dépaysement, est fixé à 50 €.
– Les inscriptions et règlements, par chèque, sont à expédier impérativement  avant le 20 septembre, par courrier à l’adresse suivante :
CLUB TAURIN MARC SERRANO, 65 allée de l’Arçon, 30000 Nîmes.
– Dès réception de votre inscription, vous recevrez les dernières modalités (entre autres,  le lieu de rdv du dimanche matin).
– Pour des raisons, évidentes d’organisation, aucune inscription ne sera prise sur place.

 Pour tous renseignements : querencianimes@hotmail.fr.
(Communiqué)

 BOUILLARGUES

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SANGÜESA

Avec Juan  Bautista et Roman Perez…

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PRONATORO

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SÁNCHEZ MEJÍA

Le sang de la tauromachie coule encore dans les veines de la Catalogne…

Cardona, un magnifique pueblo avec une tradition taurine qui remonte à six siècles, continue de vivre la tauromachie avec la passion et le romantisme qui ont toujours caractérisé l’Art de Cúchares.

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Cette année, malgré la pluie, ce week-end taurin s’est vécu avec plus d’intensité que jamais avec deux festivals dans une arène très particulière, puisqu’elle est carrée et elle comprend au niveau des barrières des cordes avec des nœuds pour que les aficionados puissent vivre de plus près les charges des toros…

Après la pluie du samedi, le soleil fit sa réapparition le dimanche et il y eut beaucoup de monde, Serafín Marín étant lui aussi présent.

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En premier lieu, Santiago Sánchez Mejía afficha torería, ganas et arte face à un novillo de Daniel Martín avec lequel il se fit applaudir pour de suaves véroniques. Bonne connection avec le public à qui le Franco-Colombien brinda une faena explosive en gardant son sombrero à la manière agitanada. A la muleta, séries très esthétiques sur les deux côtés face à un novillo avisé qui lui infligea deux spectaculaire volteretas, mais Santiago se releva les deux fois comme s’il ne s’était rien passé, concluant par des muletazos très toreros et empochant deux oreilles et le rabo sous les cris de « Torero ! Torero »…

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Avec lui, Antonio Arrebola se distingua à son tour, et il sortit a hombros avec Sánchez Mejía après avoir à son tour obtenu deux oreilles et la queue.

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ADRIEN

L’été triomphal d’Adrien Salenc…

Le jeune Français, élève à l’école taurine de la Fundación El Juli, poursuit son été triomphal. Il a en effet triomphé vendredi dans les arènes de Morata de Tajuña, ravissant deux trophées d’un becerro de Zacarias Moreno. Il sortit en triomphe aux côtés d’Alejandro Gardel à l’issue du mano à mano qui les opposait.

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Le lendemain, samedi 7 septembre, il signait un nouveau succès en terres espagnoles et coupait la queue d’un eral de Las Infantas, propriété de Gregorio Ortega, lequel fut primé d’une vuelta al ruedo posthume.

Le dimanche 8 Septembre, à Hoyo de Manzanares, Adrien a obtenu les deux oreilles d’un eral de Ventorillo-Camponuevo.
Enfin, le lundi 9, à Santa Maria de la Real de Nieva, il a encore coupé deux oreilles.

Total : 8 oreilles et une queue en quatre jours !!!

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Les succès du jeune Français lui ont ouvert les portes de nombreuses arènes. Un agenda dense l’attend. Dans les prochains jours, il prendra part aux paseos suivants :

Arganda del Rey : jeudi 12 septembre

Sevilla La Nueva : vendredi 13 septembre

Burgohondo : samedi 14 septembre

Cabezuela : dimanche 15 septembre

Segurilla : lundi 16 septembre

Villar del Olmo : lundi 23 septembre

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GRANA Y ORO

Emission consacrée aux courses de Palencia, Valladolid, Daimiel, Illescas, Motilla del Palancar, San Sebastián de los Reyes, Alcalá de Henares, Peralta, Ledesma, Madrid, Mérida, Tarazona Calahorra, Linares et Medina del Campo… Explication de la larga cordobesa par le novillero Ricardo Maldonado…

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Pour voir l’émission, cliquez  ICI

TENDIDO CERO

L’émission revient sur l’encerrona de Talavante à Mérida, sur « Taco », le toro indulté de Fernando Domecq, ganadero de Zalduendo, et sur la carrière de Paco Ojeda il y a 25 ans…

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Présentation de la ganadería de César Rincón, retour sur les courses de San Sebastián de los Reyes, Linares, Bayonne et Madrid, et évocation de Pepe Manzanares et Leandro Martínez, grands-pères de Manzanares et Enrique Ponce.

Pour voir l’émission, cliquez ICI

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Le « 105 » reçoit en Féria… JEUDI 12 après la corrida (à 20h30), le « 105 »accueille au Cheval Blanc le Maestro DAVID MORA et sa cuadrilla, proches du bureau du club, ainsi que le Mayoral de FUENTE YMBRO, notre ami ALFONSO, qui nous a reçus plusieurs fois, très amicalement, à sa finca.

SAMEDI 14 à/c de 14h : Repas traditionnel du « 105 » à l’ATRIA  avec Apéro « UCTPR / 105 », suivi du buffet géant servi à discrétion. Entrée avec réservation indispensable (appel au 0609444329)

Ce sera un plaisir, à cette occasion, d’accueillir LÉA VICENS, celle qui nous a enchantés lors de sa venue au club en janvier avec Marie SARA et qui aura reçu son alternative le matin même… dans les conditions que nous lui souhaitions sur de précédents blogs…

Les autres temps forts de notre Féria seront les multiples rencontres sur les évènements de cette édition, ainsi que sur le « parcours des bodegas », indispensables aux partages d’abrazos et de convivialité !

Que les corridas nous enchantent, avec du bétail qui « sert » et des Maestros qui « mettent la jambe ». Bon cru « Vendanges 2013″…

(Communiqué)