Peut-on écrire un bon livre sur la corrida quand on n’en supporte pas la vision ? C’est la performance littéraire que vient de réaliser l’écrivaine française Gaël Tchakaloff. Pour cela, il faut d’abord que s’y trouve un personnage qui transgresse les codes, les débats, les humeurs, les pulsions et les répulsions. Qui sorte littéralement des frontières de son domaine. 
 
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Le personnage central du livre, c’est Léa Vicens. Grâce à la personnamité de Léa, on reparle depuis peu en moins mal de la corrida dans les journaux parisiens, dans les hebdomadaires à papier glacé ou dans les dîners germano-pratens…
 
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Avec aussi les actualités, les échos du callejón, les hommages, le calendrier, le programme télé…
 
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