Guillermo García Pulido, Guille voire Willy pour les amis, vit seul avec son chat dans la cambrousse, du côté de Borox. Vendredi, il a quitté son refuge et son matou pour aller à Madrid ouvrir le bal de la San Isidro. Bal sans beaucoup de musique parce que comme le dit Morante, « la musique c’est le toro qui la met ! »
 
Comme on s’y attendait, les Alcurrucén ne font rien de saillant à la cape et sous la pique ; comme on ne s’y attendait pas, ils ne font, sauf exception, rien de bon dans la muleta. Aux banderilles, ils attendent au tournant et mettent les péons au supplice…
 
Bonne lecture, Bruno Doan.
 
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