Photographe attitré d’une compagnie de danse qu’il suivait aux quatre coins de la planète, Jean-Claude trouvait tout de même le temps d’assouvir sa passion pour les toros. Relation de cause à effet, il savait se rendre disponible aux dates des principales ferias du Sud-Est où on le retouvait de callejón en callejón,  aux côtés de son fidèle copain Daniel Chicot.
 
Celui que je surnommais avec la référence taurine, le « Divin Chauve » va beaucoup me manquer. Pour sa gentillesse, son humour, son dynamisme…
 
Même si on le savait fatigué dans sa lutte contre ce qu’il est convenu d’appeler une longue maladie, on avait toujours espoir d’apprendre la bonne nouvelle de sa guérison. Qui n’est pas venue…
 
On a beau s’y attendre, ça fait toujours très mal. Ce soir, je suis triste et désormais, sans toi, Jean-Claude, cette feria ne sera plus tout à fait la même ! 
 
Repose en paix, l’Ami…
 
(Merci Daniel pour la photo)