«C’est une image de la désolation. Un torero en habit de lumières sous un parapluie, sa cape de paseo sur le bras, sa montera à la main, sur un ruedo inondé devant des gradins vides. C’est Pedrín Benjumea Durán le 25 juillet 1986 au Coliseo Balear de Palma de Mallorca dans la corrida, reportée, de son retour. Il a quarante ans, quatre enfants, pour l’instant vingt-quatre coups de corne sur le corps et il revient aux toros après plusieurs années et “pour l’argent”. Il le dit franco.»…
 
Bonne lecture, Bruno Doan

 

https://editions.atelierbaie.fr/p/la-page-taurine-de-jacques-durand