Parution du N° 1445 : Ponce, toute une époque…

 

Ponce, l’une des plus grandes carrières. Au terme de sa dernière corrida, mercredi dernier à Mexico, ouvrons le cahier des chiffres de Ponce. Les chiffres pleuvent. Churchill disait qu’il ne croyait pas aux statistiques qu’il n’avait pas lui-même truquées. Alors, sans essayer de truquer, parlons de nos propres statistiques…

 

Dans mon livre « 1988… année taurine » (1), je brossais une brève biographie des novilleros les plus en vue de cette temporada d’alors. Il y avait Julio Aparicio, Víctor Manuel Blázquez, Antonio Caba, Christophe Aizpurua, Manolo Corona, Juan Cuéllar, El José, Fernández Meca, Denis Loré, Bernard Marsella, Pepe Luis Martín, César Pérez, José María Plaza, Antonio Manuel Punta, Domingo Valderrama, Antonio Posada… et avec la prétention de relire le texte destiné à Ponce, on pouvait y voir ceci :

 

« Enrique Ponce Martínez est né le 8 décembre 1971 à Chiva (Valencia). Il est le petit-neveu du matador de Valencia Rafael Ponce « Rafaelillo ». C’est son grand-père Leandro qui l’initia au toreo. Il toréa son premier veau le 4 avril 1982 lors d’une capea à Valencia. Il réside à Navas de San Juan (Jaén), sous la protection de son ami et conseiller, l’éleveur Juan Ruiz Palomares. Il revêt son premier costume de lumières en 1986 à Baeza, et fait ses débuts avec picadors le 9 mars 1988 à Castellón, aux côtés de Curro Trillo et José Luis Torres, avec du bétail de Bernardino Piriz, accomplissant deux tours de piste et perdant les trophées avec l’épée.

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