Roca Rey pas loin du Graal…
Mercredi 7. No hay billetes. Lot décevant de Victoriano del Río, la plupart par manque de race, le troisième se sauvant de la quema.
Miguel Ángel Perera : vuelta et silence.
Juan Ortega : silence aux deux.
Andrés Roca Rey deux oreilles et silence.
Le public s’est retiré avec en tête le faenón du Péruvien à son premier qui s’avéra le meilleur de l’envoi. Très en vue déjà au capote, par la suite Roca instrumenta des séquences mettant en exergue son temple et son poder au cours d’un trasteo varié comme ajusté, bien conclu par entière. Las, l’ultime ne sortait pas du même tonneau. Toro et rafales ne lui ont pas permis d’obtenir l’oreille qui l’aurait conduit vers de la Porte du Prince et malgré un effort pour parvenir à ses fins avec plusieurs séries méritoires, les choses se diluèrent avec une conclusion médiocre.
Pour le reste, si Perera déclencha une faible pétition à son premier, brindé au Juli, le quatrième ne lui laissa aucune chance de réussir le desquite, contraint d’abréger.
Ortega a écouté deux silences après être tombé sur deux saucisses. Mais comme on n’était pas à Strasbourg…
Photos : Ferdinand De Marchi