Le junk toreo…
Fromage fondu sur jambon.
Véronique en Jalapenos cheddar.
Carton tâché de gras.
Demie en huile de friteuse.
Salade Caesar veggie.
Chicuelina en kebab.
Burger triple bacon.
Puyazo en bun moelleux et sésame.
Sandwich américain.
Quite en burrito.
Enchilada peppers.
Banderilles en laitue flétrie.
Panini chorizo origan.
Brindis en tomate concombre.
Steak haché oignons confits.
Derechazo en mozzarella.
Lard grillé sauce au miel.
Naturelle en pain pavot, thon et crème fraîche.
Nuggets cheddar.
Passe de poitrine en fish fingers burrata.
Surimi œuf dur.
Remate en Coca 33cl.
Pepperoni oignons.
Musique en spicy beans.
Sauce ranch maison ou barbecue (au choix).
Adorno en caramel cake ou crêpe Nutella (au choix).
BBQ beef kiwi.
Estocade en coleslaw.
Cranberry donut.
Oreille en Ice chocolate
Waffle ice cream apple-pie.
Vuelta en smoothie banane.
Une aberration du goût.
Un fake du vrai.
En un trasteo de misère.
En bagel healthy.
Une ragougnasse d’exotisme pour 10 €.
Une balade en pédalo pour soixante6cinq mauvaises passes.
Marchands du temple en gants de plastique.
Vendant des saveurs de barbarie.
Toreo de bimbeloterie.
Donnant à voir un clinquant de camelote.
Le nommable.
De l’immangeable.
De la junk food.
Et du junk toreo.
Datos
La junk-food est conçue de telle sorte à booster le goût et la saveur des aliments. Le cerveau a l’impression de manger un aliment résolument nouveau, ce qui lui donne envie de renouveler l’opération.
Dito pour le mauvais toreo…
Patrice Quiot
