Jeudi 28 Mars 2024
PATRICE
Mercredi, 29 Mars 2023
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El Toro del Cielo :  Lascaux et les ethno astronomes…
 
« Le 8 septembre 1940, des adolescents se promènent dans les bois de Lascaux quand leur chien disparaît dans un trou. L'un d'eux descend pour le récupérer et découvre un passage étroit qui semble ouvrir sur une grotte. Il revient quatre jours plus tard avec trois copains pour l'explorer. 
 
Ces jeunes gens, les premiers à entrer en ces lieux depuis près de 20 000 ans, découvrent Lascaux. À la lueur des lampes, ils sont saisis d'admiration devant les dizaines de figures animales qui semblent galoper autour d'eux. Ils viennent de pénétrer dans la salle des Taureaux, une pièce en forme de rotonde, la plus importante et la plus représentative de la grotte.
 
La salle des Taureaux doit son nom aux quatre immenses aurochs qui s'y trouvent peints. Mesurant jusqu'à 5 mètres de long, ils dominent deux troupeaux qui se rejoignent et regroupent une trentaine d'animaux plus petits, enchevêtrés et superposés les uns aux autres : d'autres taureaux, des chevaux, des cerfs… caracolant dans une cavalcade bien organisée. Toutes ces figures sont peintes à plus de 2 mètres au-dessus du niveau du sol, entre une corniche naturelle et le plafond. »
 
Sources : panoramadelart.com
 
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Voilà pour la partie conventionnelle.
 
Certains cependant voient autre chose dans les taureaux de Lascaux.
 
« Les artistes qui ont décoré la grotte de Lascaux semblent avoir voulu représenter la partie la plus emblématique de la constellation du Taureau.
 
Depuis plusieurs années, des ethno astronomes se demandent si cette grotte n’est pas le plus ancien planétarium connu. 
 
Un lieu où nos ancêtres auraient représenté certaines portions du ciel nocturne.
 
C’est la question qui se pose quand on entre dans la Salle des Taureaux. Longue de 17 mètres pour 6 mètres de large et 7 de haut, elle est ornée d’une trentaine de représentations animales célèbres. Chevaux, taureaux (ou aurochs), cerfs et ours décorent les parois. 
 
C’est le quatrième taureau qui intrigue les archéoastronomies.
 
Ils y voient une représentation de la partie la plus spectaculaire de la constellation du Taureau. 
 
L’œil du ruminant correspondrait à Aldébaran, l’étoile géante orangée la plus brillante de la constellation. 
 
Les points autour de l’œil évoquent les étoiles de l’amas des Hyades. 
 
Quant aux six taches noires au-dessus de l’animal, elles rappellent le célèbre amas des Pléiades.
 
L’amas des Hyades (la plus brillante étoile est Aldébaran) et celui des Pléiades au-dessus de la Lune. 
 
La disposition des astres se retrouve sur la fresque de Lascaux. 
 
Si cette interprétation audacieuse est exacte, cela signifie que nous sommes en présence d’une des premières cartographies des constellations. 
 
Un nouveau témoignage en faveur de l’intérêt que nos ancêtres portaient au ciel nocturne. 
 
Intérêt que l’on retrouvera ensuite dans le disque de Nebra ou le poignard de Toutankhamon.
 
La constellation du Taureau se lève actuellement en début de nuit. »
 
Sources : Cielmania.
 
Datos 
 
En la mitología antigua de Mesopotamia, el Toro del Cielo es una bestia mítica peleada por el héroe Gilgamesh . La historia del toro del cielo tiene dos versiones diferentes: una registrada en un poema sumerio anterior y una versión posterior en la epopeya acadia estándar de Gilgamesh . En el poema sumerio, el Toro es enviado a atacar a Gilgamesh por la diosa Inanna por razones que no están claras. El relato acadio más completo proviene de la Tablilla VI de la Epopeya de Gilgamesh , en la que Gilgamesh rechaza las insinuaciones sexuales de la diosa Ishtar, el equivalente semítico oriental de Inanna, lo que lleva a la enfurecida Ishtar a preguntarle a su padre. Anu por el Toro del Cielo, para que lo envíe a atacar a Gilgamesh en Uruk. Anu le da el Toro y ella lo envía a atacar a Gilgamesh y su compañero, el héroe Enkidu, quienes juntos matan al Toro.
 
Después de derrotar al Toro, Enkidu lanza el muslo derecho del Toro a Ishtar, burlándose de ella. La matanza del Toro da como resultado que los dioses condenen a muerte a Enkidu, un evento que cataliza el miedo de Gilgamesh por su propia muerte, lo que impulsa la parte restante de la epopeya. El Toro se identificó con la constelación de Tauro y el mito de su muerte puede haber tenido un significado astronómico para los antiguos mesopotámicos. Los aspectos de la historia se han comparado con cuentos posteriores del antiguo Cercano Oriente, incluidas las leyendas de Ugarit, la historia de José en el Libro del Génesis y partes de las antiguas epopeyas griegas, la Ilíada y la Odisea.
 
Patrice Quiot