Sauf pour les corridas où José Tomás est apparu, on ne parle pas souvent du cartel de no hay billetes…

Aujourd’hui, à Bayonne, avec tout de même Castella et Manzanares, il restait beaucoup de billets à la vente… Au Puerto de Santa María, pour voir les « médiatiques » qui avant remplissaient un peu partout, Rivera, Fandi et Luque, il y avait à peine un quart d’arène…

A la même époque, on s’est bousculé à Valencia puis Huelva pour voir José Tomás, comme ça se produira aussi à Bayonne et Nîmes en ce qui nous concerne. S’agit-il d’un effet de vases communicants ? Peut-être, toujours est-il  que si des arènes résistent bien, la crise est bel et bien passée par là et que pour relancer la machine, outre l’espoir d’une sortie de crise qu’on nous promet mais qui ressemble à l’Arlésienne, il faudrait que certaines choses bougent de l’intérieur. Et que pour attirer le chaland, on sorte un peu de la répétition de cartels vus et revus. Pour cela, il faudrait bien sûr que plusieurs promesses montent au créneau pour secouer un peu la fourmilière…

Mais de ce côté-là, pour le moment, et en respectant tout le monde, la vérité oblige à écrire qu’on ne voit rien venir. Ou si peu. Et si je me trompe, merci de me citer les noms…