Une supplique qui est descendue des tendidos qui s’est accompagnée d’un bien curieux paradoxe…

En effet, d’un côté on s’offusque de la piètre présentation du  bétail, qui entre parenthèses, hélas, ne concerne pas que Dax… et de l’autre, on applaudit majoritairement les sorties de deux membres influents du « G10 »…

Sans se poser la question des responsabilités, ou en la limitant à l’organisation, au fond principale « dindon de la farce », alors qu’il est évident que les exigences des vedettes passent par le choix des toros et que du medio-toro, on en arrive doucement vers un « cuarto-toro » !

Le pli étant pris, il sera évidemment bien difficile de faire machine arrière, d’autant plus que les exigences des aficionados ne sont pas les mêmes que celles du grand public, plus enclin à se laisser berner par les paillettes de la renommée, quand ce n’est pas de la charlotade. Mais tout ce qui brille n’est pas d’or et question exigences, on voit bien qui a pris le dessus. Et hier, à Dax, même si les responsabilités ne sont pas uniques, je ne suis pas sûr que la bronca ait été adressée à ceux qui auraient dû en être les principaux destinataires…