Dimanche 12 Mai 2024
Trouvailles…
Mardi, 06 Septembre 2011

C’est reparti du côté des antis, avec quelques belles perles à la clé…

Nouveau déferlement de mails avec un texte adressé aussi bien aux plus hautes autorités qu’au monde taurin… et toujours le même leitmotiv : l’abolition. Une couche de plus qui n’a rien de bien surprenant, sauf que quelques passages sont truffés de trouvailles qui valent quand même leur pesant de moutarde. Jugez-en…

Aimer la corrida, c’est aimer voir le spectacle de la souffrance d’un taureau, en jouir et s’en repaître. C’est prendre du plaisir dans la souffrance et la mort d’un autre être sensible prisonnier et sans la moindre possibilité d’en échapper. Aimer la corrida, c’est aimer le sang, la douleur et la mort. C’est un plaisir sadique, c’est du sadisme.

Il y a 66 ans, les nazis avaient ce comportement-là avec des hommes, des femmes et des enfants dans les camps de concentration. C’était une «tradition locale». C’était du sadisme. Il y a plus de 1700 ans, les Romains avaient ce comportement-là avec les chrétiens et les esclaves dans les cirques. C’était une «tradition locale». C’était du sadisme. Lors des corridas, «tradition locale» par excellence selon nos hommes politiques, nous retrouvons ce sadisme dans les arènes de Nîmes et d'ailleurs.

Cette danseuse sans mérite qui tue un taureau déjà préparé avant le combat. Oui, ce que vous feignez d’ignorer monsieur Sarkozy et public sadique, c’est que ce taureau a subit, «dans les coulisses», un traitement de choc pour l’empêcher d’embrocher la danseuse ridicule :
 
Les yeux enduits de vaseline afin de le désorienter, usage en dose massive de tranquillisants, d’hypnotiques, et même de sprays paralysants (CS, moutarde ou autres). Pattes enduites d’essence de térébenthine, ce qui lui procure des brûlures insupportables, dans le but de l’empêcher de rester tranquille. Aiguilles cassées dans les testicules, dans le but d’empêcher le taureau de s’asseoir ou de s’affaler. Coton enfoncé dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, dans le but de rendre plus difficile la respiration. Coups de pieds et de planche sur l’échine et sur les reins, pour ne laisser aucune trace. Les sabots limés, voire incisés, dans lesquelles on a enfoncé des coins de bois entre les onglons, sans oublier «l’afeitado».

Evidemment, ce ne sont que des extraits, mais ils me semblent éloquents, non ? On en apprend tous les jours…