Ce week-end, l’Espagne nous a fait boire la tasse…

C’est vrai qu’on ne peut pas être bon partout et tout le temps, mais que ce soit en basket comme en tennis, il faut bien reconnaître la suprématie de nos voisins ibères…

Cela dit, si j’évoque ces deux défaites, c’est surtout par rapport à un fait qui s’est passé à Cordoue lors de la demi-finale de la Coupe Davis disputée dans la plaza de toros reconvertie en court de tennis en terre battue. Outre la pâtée sur laquelle je ne m’étendrai pas, ce que je retiens de cette confrontation, c’est le geste de Fernando Verdasco qui après sa victoire a revêtu une chaquetilla de torero. Un geste fort, repris par toute la presse…

Maintenant, il reste aux Espagnols à disputer chez eux, début décembre, la finale contre les Argentins, probablement encore dans une plaza de toros. Et je ne peux m’empêcher de penser que ce serait assez cocasse, compte tenu de son sentiment national, que la ville désignée soit Barcelone ! Franchement, un mois après le début de l’abolition, ce serait plutôt cocasse de voir ce joueur revêtir encore sa chaquetilla, non ? Histoire de faire un beau pied de nez aux politicards locaux… Mais là, je rêve…