Il y a des endroits où il vaut mieux ne pas prendre un coup de corne…

Vous me direz, ça ne doit jamais faire du bien, mais ce fait divers à peine croyable montre combien des toreros ont frôlé la “double peine”… Celle de subir une éventuelle cornada et d’être soignés par des charlatans, ou plutôt des usurpateurs…

L’histoire s’est passée cette année dans la province de Jaén où à huit reprises – quatre à Baeza, deux à Ibros et deux à Navas de San Juan – trois individus ont eu la possibilité de faire partie du service médical, sans avoir les titres, par le biais de faux-papiers… et certainement aussi de la crédulité des organisateurs.

Il aura fallu une enquête de police pour mettre fin au statagème de ces resquilleurs “officiels”, mais la question qui brûle les lèvres est bien sûr d’imaginer ce qui se serait passé si un accident grave s’était produit…

Comme quoi il y a des endroits où la profession de matador est doublement à risques !