Au cours de cette journée à marquer d’une pierre blanche pour la tauromachie en France, les réactions n’ont pas manqué.…

De Jean-Paul FOURNIER, Sénateur du Gard, Maire de Nîmes, Président de Nîmes Métropole…

"Les Sages du Palais Royal ont donc jugé que la tauromachie était conforme avec le texte le plus fondamental de la République, à savoir la Constitution de 1958. Nous sommes dans un Etat de Droit et cette décision s’applique à tous.

C’est avec fierté, mais aussi modestie, que je prends acte de cette sentence définitive du Conseil constitutionnel.

Fierté, car elle donne une nouvelle dimension à la corrida. Celle-ci est donc reconnue par la plus haute juridiction française comme une expression artistique dans les régions, comme la nôtre, où existe une tradition ininterrompue.



Modestie, car je ne veux pas alimenter le débat stérile avec les associations anti-taurines, qui n’ont plus, désormais, aucun artifice juridique pour arriver à leur fin. Je leur demande tout simplement de respecter la loi républicaine.

Plus largement, ce jugement est une très bonne nouvelle pour toute la filière taurine française, mais aussi pour les nombreuses Communes, comme Nîmes, qui organisent des manifestations taurines. C’est également une grande nouvelle pour les aficionados, dont je fais bien sûr partie, qui pourront continuer à célébrer cet art majeur, dont José TOMAS a donné la plus pure expression de toute l’histoire de la tauromachie, dimanche dernier, dans les arènes de Nîmes.

J’ajoute que la décision de la plus haute juridiction française permet de garantir la survie de la race des taureaux de combat. Une interdiction aurait directement menacé la survie du toro bravo. Dernier aspect, et pas des moindres, en ces temps de récession, celui des retombées économiques des Férias, qui sont fort heureusement préservées.

Pour résumer, les associations anti-taurines sont dans la position de l’arroseur arrosé. Leur démarche conforte indirectement l’organisation des corridas en France. Rien que pour cela, et avec un brin de provocation, il faudrait les en remercier : « INDULTO » !" 

(Communiqué)

LAPORTE

Dans Var-Matin, intéressant entretien de Paul Massabau avec Bernard Laporte, ex-entraineur de l’équipe de France de Rugby puis Secrétaire d’Etat à la Jeunesse et aux Sports et actuellement entraineur du RC Toulon, qui est devenu aficionado à 19 ans après qu’on lui nait expliqué la corrida. Pour lire l’interview, cliquez ICI

CFT

Dans le cadre de la politique de promotion de la corrida de Nîmes Métropole, le Centre Français de Tauromachie propose une becerrada sans mise à mort, dans les arènes de GARONS, LE samedi 22 septembre à 16h - Entrée Gratuite.



AS

Dimanche 14 octobre à 15h, Finale du Trophée Taurin MIDI- LIBRE / LA PROVENCE, la plus grande course de l'année avec la présence du « Biou d'Or » (meilleur taureau de la saison) et des meilleurs razeteurs…



Location :

- Par téléphone au 0891 701 401
- Aux guichets 4 rue de la violette
- Sur notre site internet www.arenesdenimes.com
Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h

LOGROÑO

Devant trois quarts d’arène, la corrida du Pilar - avec un sobrero de Moises Fraile, 1er bis, même maison -  a surtout valu par la prestation de Miguel Ángel Perera qui a coupé une oreille à son premier avec pétition de l’autre et qui aurait pu sortir a hombros s’il n’avait échoué à l’estoc avec l’ultime.



Padilla, deux silences, et Manzanares, saluts à son premier, mais plus préoccupant, le réveil de sa lésion à la main droite qui l’a contraint de passer par l’infirmerie et qui semble compromettre son prochain mano a mano avec Alejandro Talavante dimanche prochain pour la  San Miguel de Séville…



SÉVILLE

Ouverture de la San Miguel avec une novillada de Juan Pedro Domecq qui a attiré à la Maestranza un peu plus d’une demi-entrée. Une novillada manquant globalement de forces et le plus souvent de race, mais noble et qui a permis à Tomás Angulo de faire la vuelta à son second et surtout à Gonzalo Caballero d’obtenir un trophée devant l’ultime qui s’est avéré le meilleur.



SALAMANCA

Devant deux tiers d’arène et face à des toros d’Ángel Sánchez y Sánchez, donnant du jeu dans l’ensemble,  la terna est sortie « a hombros », Pablo Hermoso de Mendoza, Joao Moura hijo et Leonardo Hernández coupant une oreille à chacun de leurs adversaires.

PALMAS Y PITOS

TOROS

Le numéro 1936 de la revue « TOROS » est en kiosque : La chronique du temps revient sur le scandale de Rafael de Paula lors d’une réception à Ronda.



Ronda est l’épicentre de ce numéro avec un retour sur l’école Rondeña et les dynasties de toreros sans oublier Antonio Ordóñez. Le compte rendu de la Feria de Pedro Romero clôt ce chapitre. Les comptes rendus de Dax, Arles, Nîmes et Céret clôturent ce numéro dont la couverture passe en couleur. Bonne lecture...
(Communiqué)