On dit souvent que pour beaucoup de choses, c’est dans la tête que ça se passe…

Bon, je ne vais pas détailler, mais ce soir deux exemples me viennent à l’esprit. D’abord les Bleus, évidemment, parce quoi qu’il ait été dit ou écrit, souvent à juste raison, ce soir, avec l’épée de Damoclès en dessus de leur tête, ils ont livré une partie, un combat, exemplaire. Avec justement ce moral retrouvé, cette gnaque, cette « grinta » qui leur a fait trop souvent défaut, au point que c’en était tout aussi désolant que ridicule. Comme quoi, quand on veut…

L’autre exemple, c’est évidemment celui des éleveurs de Casanueva, José et Guillaume Bats, que la rencontre avec César Rincón a revigorés. Visiblement très heureux de leurs rapports avec le maestro colombien et de leurs dernières acquisitions, c’est avec un moral au beau fixe qu’ils entament cette nouvelle phase de leur aventure (voir reportage).

Eux aussi ont maintenant un sacré challenge à remporter. Avec, pour ce que j’en ai vu, une foi à soulever des montagnes. Et comme le courage ne leur manque pas…