Curro Romero entre au club des octogénaires…

Eh oui, le temps passe vite, et aujourd’hui, dimanche 1er décembre, le Pharaon de Camas a soufflé ses quatre-vingts bougies !

Francisco Romero López « Curro Romero », peut-être le torero le plus adulé et le plus décrié, qui avait ses partisans comme ses détracteurs, mais surtout, qui ne laissait personne indifférent.

Il y avait ceux qui ne l’avaient jamais vu bon, qui ne pouvaient le voir ni en tableau, ni en peinture, mais il y avait aussi les autres, ceux qui étaient présents lors de ses tardes de grande musique, alors inégalable, et qui n’hésitaient pas à suivre leur idole où qu’il se rende pour toréer.

On a entendu de tout sur son compte, même de somptueuses bêtises, mais une chose est sûre, des toreros de ce corte, de cette personnalité, il ne s’en lève pas un tous les matins !

Et pour tout dire, c’est peut-être ce qui manque actuellement le plus dans le monde des toros…