Un mot d’ordre qui revient de plus en plus souvent…

 Avec cette - bonne - habitude prise désormais par la profession qu’il faut faire quelque chose pour les générations qui suivent, seul moyen de transmettre leur passion et leurs traditions, on entre de plain pied dans le fond du problème : la tauromachie ne pourra survivre que si les jeunes qui arrivent se montrent intéressés.

Pour cela, il faut leur donner les moyens de comprendre, d’apprendre, et contrairement à ce que l’on peut lire ici ou là, le plus souvent de manière fort malintentionnée, ils sont tout aussi capables que ce que nous l’avons été d’en assimiler les règles et l’essence.

Il n’est aucunement question de bourrage de crâne, qui en général produit l’effet inverse de celui recherché, mais simplement d’expliquer, que ce soit en les emmenant au campo, ou à une course, et comme pour tant d’autres choses dans la vie, ils seront à même de faire ensuite leurs propres choix.

A cet égard, ce qu’a fait Miguel Ángel Perera va totalement dans ce sens, avec des milliers de jeunes rassemblés à Olivenza, comme chez nous les dernières initiatives du Printemps des Jeunes Aficionados, des capéeas du Forum ou encore ce week-end de la Primavera des Aficionados à Nîmes. Para el Futuro…

(Photo : Mundotoro)

"Il faut que les enfants aient des idoles chez les toreros comme chez les footballeurs" !!! (Miguel Ángel Perera)

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