Jeudi 28 Mars 2024
Rion, Magescq, Málaga, Paris, Condition animale…
Dimanche, 23 Octobre 2016

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Programmation complète de la XVIème Fiesta Campera de Rion des Landes…

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 MAGESCQ

Dimanche 5 février à Magescq (Landes) : Ouverture de la temporada française…

Les Arènes couvertes et chauffées de MAGESCQ, comme il est de tradition, accueilleront le premier spectacle taurin de la temporada française le dimanche 5 février 2017 : une novillada sans picador au cours de laquelle trois novilleros se disputeront le prix du triomphateur remis par l’ACOSO (Association des Comités Organisateurs de Corridas et Novilladas du Sud-ouest).

Après les visites au campo, l’élevage a été retenu par les membres du club : il s’agit de la ganadería « CASANUEVA » installée depuis 10 ans à Montsoué, dans les Landes, et propriété de Guillaume et José Bats.

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Ils présenteront leur première novillada complète de six novillos d’origine El Torreón, sélectionnés sur la base des vaches et sementals achetés au Maestro César Rincón.

A leur actif, ils ont déjà remporté trois prix dans le Sud-ouest : vainqueur de la novillada concours de La Madeleine à Mont-de-Marsan en 2014 et 2016 et vainqueur de la novillada concours de Castelnau Rivière Basse en juillet 2016.

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En matinée, une fiesta campera permettra aux jeunes pousses du Sud-Ouest de se présenter en piste.

Suivront les traditionnelles agapes landaises sur le sol des arènes avant la novillada de l’après-midi.

Contacts :

http://musicaytoros-clubtaurinmagescq.blogspot.com

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www.facebook.com/pages/Club-Taurin-Cape-et-Corde-Magescq

Twitter : @capetcorde

Consultant: Michel Bertrand

(Communiqué - Photo des novillos de Casanueva : William Lucas)

MÁLAGA

Samedi dernier, dans la Malagueta, Diego Urdiales était aux manettes pour le VIIème Certamen Juan Pedro de Luna, entouré de quatre aspirants, dont Manuel de Reyes, de l’école taurine de Nîmes-Cataluña.

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Face à de bons novillos de Zalduendo, Manuel de Reyes s’est distingué, coupant une oreille et au final, faisant la vuelta avec ses compañeros et le maestro après avoir déployé une banderole en faveur des toros en Catalogne…

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Diego Urdiales a réalisé une excellente prestation avec une faena templée et variée qui lui a valu une oreille avec pétition de la secondez.

Oreille aussi pour Santiago Fresneda, de Málaga, saluts de José Rojo, de Madrid, et silence pour Pedro José Aguilar « El Jareño », de Málaga.

Voir la vidéo de la faena de Diego Urdiales en cliquant ICI

(Photos : Manuel Salmerón)

PARIS     

Au cours de la saison 2016, celle des valeurs émergentes, il est le matador révélation de la temporada. Après une solide et patiente formation dans les rangs des novilleros et une alternative reçue en avril  2014, il a enfin imposé son engagement sans faille et la variété expressive de son toreo dans les plus grandes arènes. Séville, Pampelune, Malaga et Saragosse furent témoins de cette nouvelle maturité et de l’équilibre trouvé entre courage, lucidité et art. Madrid y a mis le sceau d’une sortie en triomphe par la grande porte le dimanche 21 août dernier. Succès qui ouvre des portes et lui permet d’intégrer, tout récemment, un groupe de production taurine de poids.

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Amis aficionados vous avez reconnu la trajectoire du matador d’Espartinas Javier JIMENEZ que le Club taurin de Paris aura le plaisir s’accueillir, en compagnie de son apoderado José Luis Peralta le jeudi 3 novembre à partir de 20h au Grand salon « Spindler » du restaurant « Chez Jenny », 39 Boulevard du Temple, Paris (3e), M° République.  

Participation aux frais, comprenant la soirée, précédée d’un apéritif et suivie du dîner : membres du Club : 34€, jeunes jusqu’à 25 ans (à jour) : 15€, hôtes de passage : 50€.

Vous pourrez à cette occasion vous mettre à jour de votre cotisation annuelle ou adhérer au Club. Montant des cotisations : individuels : 60€, couples : 100€, jeunes : 20€.

Afin de faciliter l’accueil, il est impératif de s’inscrire par mail en répondant à ce courriel, ou à l’adresse Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. .

(Communiqué) 

CONDITION ANIMALE

Article de Pablo García-Mancha paru dans le journal de La Rioja :

« Malgré la sentence du Tribunal Constitutionnel qui a annulé la décision du Parlement d’interdire les toros en Catalogne, les corridas de toros ne reviendront pas à la Monumental, pas plus que dans n’importe quelle arène qui reste par ici. Il n’y a rien à faire. Madame Ada Colau, la maire de Barcelone, la même qui dépense 400.000 euros pour sacrifier des milliers de pigeons innocents de sa ville, a dit clairement qu’elle ne va pas permettre l’abattage de toros parce que la société qu’elle représente est socialement très avancée. Tout le monde sait qu’un toro n’est pas pareil qu’un pigeon, même s’il est de Picasso, qui peignait aussi des toros et des pigeons, ou colombes, ces rats des airs avec une âme de ramier qui suscitent bien peu de compassion chez Madame Colau, la maire qui a posté un tweet dans lequel elle assure que les toros ne reviendront pas dans sa ville, quoi qu’en puisse dire le Tribunal Correctionnel. L’animalisme de Colau est comparable à celui de Rufián, de Garzón ou du député du PSC Jordi Terrades qui a déclaré qu’ils « accompagneraient le gouvernement » dans sa recherche de formules juridiques qui « rendraient impossible le retour des toros en terres catalanes ». Cette impossibilité contient tout ce que l’on peut imaginer pour que le propriétaire des arènes de Barcelone ne se risque même pas à rêver d’appeler José Tomás (et deux autres), par exemple, pour que les toros reviennent de plein droit dans une ville d’où ils ont été extirpés, non pas pour quelque chose qui n’a pratiquement rien à voir avec le respect des animaux, mais pour un symbole de l’Espagne, de cette même Espagne qu’ils haïssent et qu’ils rêvent de détruire. A Barcelone, meurent chaque jour des milliers de canards, de pigeons, de porcs et de poules, mais tout le monde s’en fout, tout comme les « correbous », ces toros dans les rues qu’ils n’ont pas interdits car ils sont moins espagnols que les corridas. Il n’y aura ni toros, ni loi ; mais il y aura des milliers de pigeons morts sur les Ramblas, aux pieds de Madame Ada Colau.»

Par ailleurs, à l’horizon des élections présidentielles, une pétition circule pour demander la création d’un secrétariat à la condition animale…

Ci contre, un extrait du texte de la pétition : « (…) Moutons, cochons, éléphants … Ils ont une vie sociale, une mémoire à long terme, reconnaissent leurs congénères individuellement, communiquent entre eux. Les poissons, comme les oiseaux, utilisent des outils, coopèrent, anticipent. Alors que des centaines de millions d’années d’évolution nous sépare du poulpe, son cerveau d’escargot lui permet pourtant d’avoir une excellente mémoire, un raisonnement logique, des capacités de déduction, d’innovation, de jeu, d’apprentissage. La recherche a constaté que l’intelligence est née plusieurs fois sur la planète et qu’il n’existe pas, dans le cerveau, une catégorie de cellules spécifiquement humaine. Des neuroscientifiques internationaux affirment que tous les mammifères, oiseaux et autres créatures, y compris le poulpe, possèdent une conscience, ce qui veut dire qu’ils sont sensibles au plaisir et à la souffrance. Grâce à nombreux travaux, on sait aujourd’hui que la douleur et la souffrance existent chez les animaux, des poissons aux mammifères. L’intelligence, la conscience, l’empathie, la vie émotionnelle, le rire, la souffrance et même une forme de culture, ces attributs qui définissaient  l’homme et lui seul, appartiennent désormais à un répertoire commun à l’homme et à l’animal qu’il n’est plus possible de contester. (…) »

Pour lire l’intégralité du texte, cliquez ICI

(L’histoire ne dit pas si c’est un poulpe qui pourrait être potentiellement secrétaire !!!)