Vendredi 19 Avril 2024
Tendido Sud, Prácticos, Narbonne…
Mercredi, 23 Février 2011

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Programme de l’émission Tendido Sud – n°235 du mercredi 23 février 2011, sur TV SUD - Magazine présenté par Christophe Chay – Julián López, profession figura – Invité : El Juli (matador de toros). Cette semaine, « Tendido Sud » offre à ses téléspectateurs un grand format dédié à Julián López « El Juli ».

 

Invité de TéléMiroir sur le plateau spécial de la dernière Feria des Vendanges, le maestro madrilène s’était livré avec passion sur sa trajectoire professionnelle, en évoquant le bilan de sa grandiose saison 2010 ainsi que la nouvelle génération de toreros en devenir. Une interview exceptionnelle, illustrée par quelques temps forts d’El Juli dans les arènes françaises, avec une évocation arlésienne de l’une de ses meilleures faenas et un retour sur son inoubliable solo nîmois de 2008. Au sommaire également du magazine de cette semaine, toute l’actualité des clubs taurins, la suite de la proclamation des cartels français du début de saison et la présentation du programme du Printemps des Jeunes Aficionados à Saint-Gilles.

LA VIE DES CLUBS TAURINS : le cartel coup de cœur de la semaine au Palacio Vistalegre de Madrid (Espagne).

LE RETOUR DU PRINTEMPS : reportage sur la présentation de l’édition 2011 du Printemps des Jeunes Aficionados, à Saint-Gilles (interview de Bernard Astric).

FAEN’ART : El Juli face au 4e toro d’El Pilar, le samedi 7 avril 2007, à Arles.

RENCONTRE AVEC EL JULI : interview exceptionnelle d’El Juli, sur le plateau des Aléas de la Feria, lors de l’édition 2010 de la Feria des Vendanges, depuis les Jardins de l’hôtel Imperator, en présence de Jean Cahn, Pierre-Paul Castelli et Daniel-Jean Valade.

FAEN’ART : El Juli face au 6e toro de Daniel Ruiz, le vendredi 19 septembre 2008, à Nîmes.

CLIP : El Juli, la Guerre d’une Étoile.

DIFFUSION & REDIFFUSIONS :
Mercredi 23 février : 18h30, 20h45 et 22h45.
Jeudi 24 février : 6h30, 10h00 et 12h50.
Samedi 26 février : 14h30 et 00h45 (nuit de samedi à dimanche).
Dimanche 27 février : 12h45.
Lundi 28 février : 4h45, 11h05 et 12h30.
(Communiqué)

PRÁCTICOS

Première action de l'opération "Découverte de la tauromachie et de la culture régionale au cœur des quartier Nîmois".

Samedi 26 février, quartier route d'Arles, face au collège Antoine Bigot (rue d'Oran) de 14H à 17h, l'Association Française des Aficionados Prácticos sera à disposition de la population Nîmoise et notamment du quartier route d'Arles pour présenter diverses démonstrations de "toreo de salon", donner des explications, faire participer les personnes intéressées... un exemplaire de la revue "Terres Taurines" est d'ailleurs à gagner à la meilleure démonstration.

Également l'Association présentera, avec le concours de la cavalerie d'Alain Bonijol l'habillage d'un cheval de pique et son dressage.

L'Association Française des Aficionados Prácticos ouvre largement cette opération à toutes les entités taurines locales.
Rappelons que cette opération de découverte est réalisée en partenariat avec la ville de Nîmes.
(Communiqué)

NARBONNE

Il fut un des rares sinon le seul matador narbonnais. Albert Sabatier (65 ans), chauffeur routier en retraite, était au rendez-vous du Cercle Taurin Narbonnais, pour retrouver André Castella, le père du numéro 1 mondial actuel, Sébastien Castella. Dans les années 60, le Narbonnais et le Biterrois se sont rencontrés, on peut dire affrontés, lors de jeux Intervilles. « On a fait connaissance et on a décidé de continuer », commente Albert Sabatier. Les deux copains participeront donc à des festivals, des corridas sans mise à mort. « À l'époque, le cercle était fermé. Il n'y avait que des matadors espagnols. Aujourd'hui, c'est 100 fois mieux avec notamment les écoles taurines ». Et lorsque André Castella apparaît, les yeux d'Albert s'illuminent. Il se revoit projeté dans les années 70. La discussion entre les deux hommes débute. Le Narbonnais Manolo Reyes vient de retrouver « El Biterri ». Les photos, en noir et blanc bien sûr, sont de sortie. Tout comme les affiches du temps jadis où apparaissent leurs deux noms accolés à celui de Simon Casas, un autre torero de renom. « C'est vrai qu'à l'époque, personne ne croyait aux toreros français...

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Mais on était là. On a d'ailleurs changé de nom pour prendre une appellation taurine », précise André Castella. Albert Sabatier se souvient avoir combattu des Yonnet dans des arènes démontables à la distillerie de Narbonne, de l'avenue Anatole-France. « On ne pouvait combattre que des toros de Camargue car les toros d'Espagne n'étaient destinés qu'à des toreros espagnols de renom, des chefs de lidia », ajoute-t-il. Et si Albert Sabatier confirme que Narbonne était alors une ville de tradition taurine, il ne pense pas que l'on puisse y retrouver de nos jours des combats de toros. « Ils en font à Coursan et à Carcassonne ». Aujourd'hui, André Sabatier, le matador narbonnais a ses favoris. « Sébastien, bien sûr, mais aussi El Juli, Morante de la Puebla et El Cid ». Alors que Dorian, le novillero audois de Fabrezan, fait son entrée, Albert Sabatier a le commentaire affectueux. « Dorian devrait percer cette année. Il a la chance d'avoir Robert Margé derrière lui ». La prochaine réunion du Cercle Taurin aura lieu le mercredi 16 mars avec un nouvel invité.