Vendredi 29 Mars 2024
PATRICE
Mardi, 17 Janvier 2023
req15ph
El tiburón (2)…
Car on se rend.
Vite compte.
Que le tiburón a de la race.
La buena.
La de l’encaste «Selachimorpha».
De la vieille souche « Elasmobranchii »
Aujourd’hui éteinte.
Et.
Le bon recorrido.
Pour mettre la tête.
Con.
Ritmo.
Y alegría.
Bajando.
La.
Mâchoire.
La relevant un peu.
A la sortie.
Mais la rabaissant en la arrancada siguiente.
Y.
Asi.
Faisant bien l’avion. 
Repitiendo.
Con.
Celo.
Temple.
Cadencia.
Y suavidad.
Recordando.
«Arrojado».
Le Núñez del Cuvillo de l’indulto sevillano de JMM2…
De lujo.
De bandera.
Va el tiburón avec la classe.
Qui permettra.
De triompher.
Et de lui couper les ailerons.
Après qu’il eut été tué non par un estoc.
Qui n’est pas de son monde.
Mais par une débauche de son entrga à affirmer le sien.
Alors.
Le jour.
Où la corrida.
Aura disparu.
 Quien sabe.
Lo que podría.
Ocurrir.
Quand.
Dans la profondeur.
D’un océan quelconque.
Venu de la Crau.
Du campo charro.
De Tartas ou de Mairena del Aljarafe.
Un tiburonero.
En combinaison.
De caoutchouc azabache negro.
Masque et tuba.
Por la cara.
Y con los guevos palante.
La sailboard d’un véliplanchiste australien.
Blond, bronzé, bodybuildé.
Et idiot.
En guise.
De muleta.
Surréaliste.
Se croisera.
Devant lui.
Et citera de face le monstre superbe.
Les vagues.
Tocando.
«Capitaine Achab» d’Herman Melville.
Et les coraux.
Abyssins de José Maria de Heredia.
De pie.
Pour faire revivre.
Au fond de la mer.
L’éternité torera…
Patrice Quiot